1. Souvenir de vacances...


    Datte: 20/09/2019, Catégories: Anal Première fois Auteur: HagenRagnard, Source: xHamster

    ... recoins de mon corps avec une de ses mains sans jamais passer sur ma chatte. Il caressait mon cou, et sa respiration au creux de mon oreille devint rapide lorsque sa main est descendue sur l’un de mes seins pour torturer mon téton... j’ai eu l’impression que des aiguilles traversaient mon minou brûlant. Je n’en pouvais plus... j’avais peur d’être sur le point de jouir sans n’avoir subi aucun contact dans mon intimité. Je sentais son sexe battre à l'entrée du mien et, m'aidant de mes talons sur ses cuisses, j'ai cherché la pénétration en l'attirant. Il a compris mon désir, a pris sa queue en main et a fait glisser lentement son gland entre mes lèvres trempées. Je me suis mise inconsciemment à couiner comme une petite chienne avant que Patrick ne dirige sa bite vers mon entrée.
    
    Sa queue n’a eu aucun mal à trouver son chemin pour glisser jusqu’en butée tout au fond de mon ventre. Il resta ainsi emboîté, sans aucun mouvement de son corps. Sa main gauche maintenait ma nuque pour mieux attirer mes lèvres sur les siennes, et nos salives se sont mélangées un instant alors que je percevais nettement la rigidité de ce bâton immobile qui me transperçait.
    
    Cette première pénétration m’a électrisée... et j’ai posé mes mains sur ses fesses pour pouvoir accentuer la pression de sa base sur mon clitoris à chaque butée. Ses premiers mouvements étaient lents, vraiment lents, et je profitais pleinement de la longueur de sa grosse bite en moi. Je compris qu’il cherchait à se contrôler ...
    ... pour pouvoir durer le plus longtemps possible. Chaque pénétration, profonde, augmentait le bouillonnement de mon bas ventre. J’étais de plus en plus impatiente d’atteindre l’orgasme... je n’acceptais plus d’attendre. J’ai maintenu fermement ses fesses pour bloquer sa queue en butée au fond de mon vagin. Trois frottements de mon petit bouton sur sa base ont suffi pour me faire exploser, me faire hurler... un temps infini. Une fois ses fesses libérées de mon emprise, ses allers-retours dans mon fourreau se sont fait plus énergiques, plus vigoureux... son souffle s'est intensifié et s’est accompagné d’un gémissement quand son liquide chaud s’est rependu dans mon ventre. Nous sommes restés un instant emboîtés ainsi l’un sur l’autre, en échangeant de longs baisers langoureux. Lorsqu’il s’est retiré, trois mouchoirs en papiers ont été nécessaires pour me nettoyer de tous ces plaisirs liquides.
    
    Nous sommes restés allongés l’un contre l’autre de longues minutes en laissant nos mains se balader sur nos corps respectifs, profitant de l'instant. Redescendant de notre nuage, nous avons pris conscience de ce qui venait de se passer lorsque nous avons entendu les cris de jouissance de Nathalie. Je me suis imaginée Jean en train de la culbuter... de la prendre par derrière... et ces pensées m'ont à nouveau beaucoup excitée. Je voyais la queue de mon homme remplir la chatte de Nathalie, ses couilles battre sur son petit cul... et j'ai eu envie à nouveau d'être prise. J'ai regardé la bite de ...