1. Souvenir de vacances...


    Datte: 20/09/2019, Catégories: Anal Première fois Auteur: HagenRagnard, Source: xHamster

    ... Des petits cris étouffés sont sortis de sa bouche, suivis des gémissements d’extase que Jean ne pouvait plus contenir et j'ai pu admirer ses couilles qui se contractaient sporadiquement, signe de sa jouissance.
    
    Je ne savais pas ce qu’il en était pour Nathalie, mais moi, je ne pouvais plus attendre. Il devenait urgent et indispensable que l’on s’occupe de mon minou... mais j’étais trop mal à l’aise pour oser le demander ouvertement.
    
    J'étais dans un état second, et lorsque Patrick m'a pris par la main pour m'emmener vers la chambre, mes jambes tremblaient, mon cœur battait la chamade et mes joues étaient brûlantes... tout comme mon intimité.
    
    Quand j'ai vu Nathalie entraîner mon Jean vers l'autre pièce, j'ai alors pris conscience que j'allais basculer vers l'interdit en toute impunité, que j'allais pouvoir m'offrir à un autre et lui donner du plaisir. Même si je venais de prendre un sexe inconnu dans ma bouche, que je l'avais laissé y déverser sa liqueur d'amour, nous n'avions jamais évoqué cette situation... mais nous ne l'avons pas refusée.
    
    Quand j'ai entendu la porte de la chambre se refermer sur nous, j'ai pris conscience que Jean allait, lui aussi, découvrir une autre partenaire... pleine de charmes. J'étais partagée entre jalousie et désir profond de réaliser un fantasme.
    
    C'est lorsque Patrick s'est collé dans mon dos et que j'ai senti sa tige durcie entre mes fesses, que j'ai pu faire totalement abstraction de ce que s'apprêtaient à vivre nos conjoints ...
    ... respectifs. Ses bras sont venus entourer mon ventre pour mieux me serrer contre lui. Son bassin s'écrasa sur le mien pour mieux me faire sentir, si c'était encore possible, sa virilité gonflée. Son souffle chaud tout contre mon oreille me fit frissonner ; ses baisers légers dans mon cou firent se tendre mes tétons encore un peu plus.
    
    Sans un mot, il m'a fait pivoter vers lui. Nous étions là, debout, entièrement nus. J'avais la chatte en feu, et la vue de sa queue gonflée qui tressautait à quelques centimètres de moi exacerbait mes sens. J'ai tendu les doigts vers son gland que j'ai effleuré en une douce caresse, puis je lui ai à nouveau tourné le dos. Ses bras sont à nouveau venus entourer mon ventre, et lorsque j'ai senti sa bite s'écraser contre le bas de mon dos, je n'ai pu retenir un soupir de contentement. J'ai relevé légèrement les fesses pour bien sentir sa queue et j'ai basculé ma tête contre son épaule. Il en a profité pour enchaîner les petits bisous humides dans mon cou et pour venir att****r mes seins durcis par le désir, m'arrachant un nouveau soupir. Tirant sur mes tétons bien érigés et devenus très sensibles, Patrick s'est mis à me chuchoter qu'il me désirait depuis qu'il m'avait vu. J'ai souris et je me suis abandonnée à ses caresses.
    
    Pendant plusieurs minutes, il a alterné caresse de mes seins et torture de mes tétons dressés, puis sans un mot, alors que sa bouche effleurait toujours ma nuque sensuellement, me procurant frissons sur frissons, sa main droite ...
«12...91011...14»