Epizode 2
Datte: 19/09/2019,
Catégories:
fff,
fffh,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Partouze / Groupe
fdanus,
hdanus,
hgode,
init,
Humour
sf,
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Pourquoi, Source: Revebebe
... premier temps à l’orée des lèvres intimes de sa femme, le cale sur son ventre, tout en guidant son propre sexe face au petit trou. Il s’avance, en maintenant « Big black » entre le pouce et l’index. Lentement mais sûrement, Marie est bientôt entièrement occupée, Denis, de plus en plus comprimé… Il est en butée, le jouet pas encore ! Il continue sa course en s’inclinant puis, en le tenant toujours fermement, il se retire, sans sortir et reprend progressivement le rythme qu’il tenait quelque temps auparavant. Mais en peu de temps, Marie hurle, littéralement envahie, tressaille de plaisir, presque instantanément rejointe par son mari. Ils s’immobilisent alors tous deux et sombrent dans un sommeil réparateur bien mérité après une telle journée.
***
5 h 30, Le réveil sonne… Denis émerge péniblement.
— Zut, il était resté allumé, lui ! pense-t-il à haute voix, en tapant machinalement sur le bouton OFF.
Après quelques minutes, Marie, réveillée aussi par la radio, pousse doucement l’épaule de son époux :
— J’ai bien peur que tu te rendormes ! Les vacances sont finies, tu vas être à la bourre, chuchote-t-elle.
— Mais qu’est-ce que tu racontes ? lui répond-il à haute voix.
— Chuuut, siffle Marie, tu vas réveiller les enfants. Allez, va te préparer, on en rediscutera ce soir…
Denis, tracassé, retrouve facilement son « train-train » habituel : habillage, café, radio (avec les infos en live), toilette…
6 h 50, Il est prêt, cherche ses clés de voiture.
— Bè ...
... oui !, on les avait laissées sur le contact hier !
Et effectivement, la voiture est bien là, fenêtres ouvertes et clés au contact ! Premier cédé le passage, une voiture passe en trombe (comme toujours d’ailleurs !).
— C’est dingue ça ! s’étonne Denis. Ce n’est pas possible, tout ceci ne peut pas n’avoir été qu’un rêve ! J’ai toujours le sexe en feu… mais au repos !
Poursuit sa route, machinalement, comme branché sur pilote automatique, il se remémore ces trois derniers jours : le monde sans vie, sauf une poignée de femmes sublimes, nues. Son premier repas dans cette villa, l’après repas ! Sans même s’en rendre compte il est déjà garé sur le parking, prêt à reprendre le travail, comme si de rien n’était.
C’est une journée presque comme toutes les autres : travail, avec Natacha sa chef, avec donc comme l’imagine Denis son traditionnel Wonder-bras, il croise Estelle, la secrétaire aux RH, fidèle à son image : tailleur strict, minijupe et petites lunette lui donnant cet air sévère.
16 h 30, fin de journée : direction l’école, où implacablement, devant le grand portail, Caro, la jeune mère de famille, toujours montée sur ses très hauts talons. Le spectacle de ses longues jambes est aussi amplifié par une petite robe, très courte elle, et particulièrement moulante. La sonnerie retentit, le portail s’ouvre et une nuée d’enfant inonde la place.
Puis retour maison, goûter, devoirs, douche… Quand Marie paraît, malgré une longue journée de travail, toute guillerette, ...