Intermède familial
Datte: 18/09/2019,
Catégories:
fh,
oncletante,
Inceste / Tabou
grosseins,
fépilée,
noculotte,
chaussures,
rasage,
Oral
fdanus,
fsodo,
hdanus,
totalsexe,
tante,
Auteur: Laurent B., Source: Revebebe
... dis-je quand elle a terminé.
— C’est juste pour l’apéro, me dit-elle en souriant.
On déjeune vraiment. Puis on refait l’amour.
— Bon, il faut quand même bien que je rentre chez moi.
— Pas de chance.
— Où as-tu fourré mes affaires ?
— Pas question que tu remettes tes horribles bottes. D’ailleurs je te défends de remettre toutes ces pièces inutiles. Tu n’as qu’à rentrer comme tu étais hier.
— Dis, il fait froid ! Et puis avec cette jupe, sans culotte. Et si je me fais violer ?
— Ne dis pas de bêtises. Tu as dix mètres à faire dehors chez toi. Et ici, je vais t’accompagner. Tu es garée loin ?
— Juste devant la porte.
— Alors, tu n’as vraiment aucune excuse.
— La voiture doit être glacée.
— Passe-moi tes clés, je vais aller la chauffer pour toi.
— Et tes chaussures ?
— Tu me les ramènes quand tu veux.
Je lui fais un clin d’œil. Elle sourit. Je file faire tourner le moteur cinq minutes. Quand l’habitacle est bien chaud, je remonte.
— J’espère que tu ne m’en voudras pas, je me suis permis de regarder dans ton placard à chaussures.
Cette fois, c’est moi qui rougis un peu.
— Tu en as beaucoup. Et toutes très sexy. On voit que ça te branche les talons.
— Marylin Monroe a dit…
— Oui, je sais. Maman me le dit souvent. Mais tu en as de toutes les pointures. C’est pour toutes les nanas que tu reçois ici ?
— À part mes cousines en détresse, il ne vient pas beaucoup de nanas ici.
— La prochaine fois que je passe, il faudra m’en faire essayer d’autres.
— ...
... Reviens vite.
Elle me fait un petit bisou rapide, je la raccompagne à sa voiture, et elle s’en va. Je me dis que si elle doit s’arrêter aux feux de signalisation, vu la longueur de sa jupe, il devrait y avoir un veinard ou l’autre pour entrevoir ce qui reste de sa petite touffe.
En milieu d’après-midi, on sonne. Je vais ouvrir. C’est tante Claire, en robe beige avec une ceinture blanche, escarpins blancs et bijoux en plastique blancs. Elle a changé de coiffure. Toujours blonde, mais ses cheveux ne descendent plus qu’aux épaules. Je vois immédiatement qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. La poitrine d’une femme, passé un certain volume, est animée d’une vie propre lorsqu’elle est libre. Elle porte mes escarpins noirs à la main. Elle me fait la bise.
— Bonjour, Laurent. Je peux entrer ?
— Bonjour tantine. Bien sûr. Ça te va à ravir cette nouvelle coiffure.
— Merci. Tiens, je pensais qu’il allait faire très chaud chez toi. Mais c’est tout à fait supportable.
— Le thermostat fait des fantaisies. Un coup ça marche, un coup ça marche pas.
— Tu ne travailles pas dans une entreprise de construction ? Il n’y a pas un de tes collègues qui peut venir arranger ça ?
— Le chauffage et la clim, on ne fait pas nous-mêmes. C’est sous-traité. Mais on doit venir me dépanner.
— Pas aujourd’hui, j’espère ?
— Non, dans le courant de la semaine prochaine.
— Ah, tant mieux. Je ne voudrais pas qu’on soit dérangés.
Ça m’apprendra à raconter des bobards. Dès qu’on met le doigt dans ...