1. Intermède familial


    Datte: 18/09/2019, Catégories: fh, oncletante, Inceste / Tabou grosseins, fépilée, noculotte, chaussures, rasage, Oral fdanus, fsodo, hdanus, totalsexe, tante, Auteur: Laurent B., Source: Revebebe

    ... l’enlace. Colle ma joue contre la sienne. Après un moment, je recule mon visage pour la regarder. Je lui souris. Elle quitte enfin son air grave. Des perles d’eau sont visibles au coin de ses yeux magnifiques. J’ai le cœur qui se serre. Autant pour cacher mon désarroi que pour nous ramener vers des choses plus gaies, je vais rechercher les escarpins et lui en fais cadeau.
    
    — Comme souvenir de notre première fois et parce que ça te va vraiment bien.
    
    Son sourire est tout à fait revenu. Elle me saute au cou et m’embrasse à pleine bouche.
    
    — Merci, mais aujourd’hui, ça t’embête si j’essaie les jaunes que j’ai vus hier dans ton placard ?
    — Bien sûr que non, tu es ici chez toi !
    
    Elle file dans la chambre, en tirant la porte derrière elle, ce qui me surprend un peu. Quand elle la rouvre, je comprends qu’elle voulait me faire une surprise. Elle porte une robe bleue minuscule, totalement décolletée dans le dos. Je suis carrément groggy par la beauté de cette apparition. Elle profite de ma paralysie pour me foncer dessus. M’attaque par tous les côtés à la fois. Sa main est dans mon pantalon avant que j’aie pu dire ouf ! J’essaie de la freiner autant que je peux.
    
    — Attends, tu ne t’es quand même pas habillée comme ça pour tout enlever tout de suite !
    — Pas besoin d’enlever, tu peux me prendre là maintenant, tout de suite, comme ça. À la hussarde !
    — Laisse-moi d’abord t’admirer…
    
    Elle se rend. Je l’invite à s’installer sur le sofa. Elle pose les fesses sur le bord, ...
    ... commence un jeu de jambes vraiment expert. Exhibant et dissimulant sa foufoune tour à tour. Je m’approche, lui caresse les jambes longtemps, partant de la racine de ses orteils, que laisse entrevoir l’ouverture des chaussures, et remontant jusqu’en haut de ses cuisses. Lentement. Puis tout le corps, mais tout en évitant toujours soigneusement son sexe. La jupe sous ses fesses commence à se marquer d’une auréole avec tout ce qui coule. Elle ouvre complètement les jambes. Impossible de ne pas remarquer son entrée totalement béante. Elle veut se caresser. Je l’en empêche.
    
    — Tu es vraiment cruel. Je n’en peux plus. Baise-moi !
    — On n’est pas pressés…
    — Par pitié, je t’en supplie… Saute-moi !
    — Tu peux répéter ? Je n’ai pas bien compris.
    — Baise-moi, saute-moi, fourre-moi ta langue, ta queue, tes doigts ! Dans tous les trous !
    
    Et dans un râle :
    
    — Remplis-moi…
    
    J’ouvre le tiroir pour sortir un flacon de gel.
    
    — Vraiment pas besoin de ça. Je suis inondée. Prends-moi. Maintenant !
    
    Je m’exécute. Je pose mon gland à l’entrée de son sexe, et une fois que je suis sûr d’avoir le bon alignement, je m’enfonce à fond d’un seul coup. Un petit cri suivi d’un râle profond. Je me mets à faire des allers et retours lentement. Puis de plus en plus vite et de plus en plus fort. Elle jouit évidemment encore avant moi. Elle se donne quelques secondes de répit, en profite pour s’enduire les doigts de gel puis revient me branler un peu avant de me sucer. Je sens un doigt "gelé" qui ...