1. lu sur le net mon beau pere


    Datte: 18/09/2019, Catégories: Anal Gay Sexe Interracial Auteur: candau51, Source: xHamster

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    Il plaça ses fesses au-dessus de mon visage. Je projetais ma langue à la rencontre de son anus, sans dégoût mais avec envie, et rapprochais son énorme cul noir de mes mains. Il y avait un gout un peu âcre qui m'excitait encore plus. Sitôt mis à ma besogne, lui entreprit mon trou. Il y fit pénétrer une phalange qu'il fit lentement tourner. Il prenait tout son temps. Mon sexe était bouillant, mais je ne pouvais m'en occuper. À la place, je poussais des gémissements plaintifs, en écartant mes jambes comme si je voulais me déchirer moi-même en deux.
    
    Bientôt, il fit entrer un doigt entier dans mon fondement. Roland a des mains et des doigts énormes épais comme ma bite. C'est un travailleur manuel depuis toujours. Il tourna pour élargir mes possibilités, et lorsque je fus un peu assoupli, il y joignit un second. De ses deux doigts, il entreprit de me masser la prostate. Je progressais dans la jouissance. De son autre main, il caressait Samuel, s'occupait de ses tétons, faisait courir sa paume sur sa nuque qu'il abaissa pour gouter sa verge. S'abaisser pour lui, le terme est bien choisi. Mon fils s'était abaissé pour sucer son zob, je m'étais abaissé à nettoyer ce qu'il a de plus sale. On s'abaisse pour lui.
    
    Une caresse prodiguée par les doigts de Roland courant dans mon rectum. Je gémissais pour de bon, en continu. Il me défonçait l'anus avec ses doigts. Pendant ce temps, ma langue s'enfonçait de plus en plus loin, visitait plus profondément son intimité. J'avais ...
    ... envie, en léchant ce cul, de lui sucer la bite. Comme je ne pouvais pas le faire, c'était son anus qui contentait ma faim. Car c'était cela : j'avais faim de lui. Soudain, ses doigts arrêtèrent leur mouvement. Il les retira. J'eus brutalement froid, et ressentis un vide profond. De la déception, aussi. Il se leva.
    
    Je le regardais, l'oeil implorant. Comme une vulgaire salope, je me touchais les tétons, effleurais ma bite qui, à présent, ne m'intéressait plus. J'avais envie de lui. Je voyais son zob viril et imposant, doté de tous les droits, son ventre proéminent qui me dominait, ses cuisses puissantes et ses énormes burnes. Lui me regardait de toute sa hauteur. Il mit son pied sur ma bouche. Avec délectation, dans une totale soumission, je passais ma langue entre ses orteils en gémissant. Je passais lascivement mes mains entre mes cuisses relevées, et approchai mes doigts de mon trou. Je le trouvais souple, humide et brulant.
    
    D'un petit coup, il me fit tourner la tête et abandonner ma tâche. Il m'attrapa par la bouche, me cracha soudainement au visage.
    
    " Salope ! "
    
    Puis il me retourna sur le ventre, j'avais les fesses relevées, et le visage au niveau du sol.
    
    Tournant légèrement la tête, je le vis se mettre à genoux, ses jambes enserrant les miennes, et son gland dépasser de ma raie. Il m'asséna une claque sonore sur la fesse.
    
    " Écarte tes fesses, grosse pute ! "
    
    Encore une fois, je m'exécutais. Je baissais les yeux, rouges de honte. Mon beau-père allait ...
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