Vue imprenable.
Datte: 18/09/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
fplusag,
couplus,
cocus,
voisins,
fête,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... pareils.
Et elle remonte ses seins d’une main, tout en claquant ses fesses de l’autre.
— Et cela a suffi ?
— Amour, tu sous-estimes mon pouvoir de séduction. Tu sais bien que rien ne me résiste.
Et elle s’était déshabillée devant moi avec provocation.
— C’est le vieux qui t’a excitée comme cela ? ai-je dit alors que je me déshabillai à mon tour.
— Ne te moque pas. Il est charmant. Il a su profiter de ce que je lui offrais…
********************
Sur le moment j’avais pris cette conversation à la lettre.Il a su profiter de ce que je lui offrais.
Pour moi, c’était offrir au regard. Juste le regard sur une belle jeune femme de notre époque. Elle était partie habillée normalement, en robe d’été, pas en pute qui devait coucher.
Oh que oui, il avait su profiter ! Profiter au point de la faire installer à quatre pattes sur le fauteuil. Au point de s’accroupir derrière elle et de la lécher. Une langue qui glisse, écarte, explore. Une langue qui sait extraire des gémissements à celle qui est là, offerte, la croupe cambrée, provocante. Mais oui, le salaud, il la fait gémir.
Mais il veut autre chose et je le comprends. La vision de ma copine est terrible. Un eunuque sentirait son sexe repousser devant ce spectacle. Il se lève. Sa queue pointe, horizontale, longue et certainement assez dure pour, oui, pour se glisser dans la fente, repousser les petites lèvres, découvrir la tiédeur de la chatte, la pression des chairs encore jeunes, encore souples, que des ...
... muscles non déformés par la maternité transforment en grotte enveloppante.
Putain, il est entré comme dans du beurre.
— Tu bandes, me dit une voix à l’oreille.
La voix de Martine qui me fait découvrir sa main sur mon pantalon. Elle a raison. Je découvre ma queue étouffée par les tissus. Mais ma voisine a pitié de moi. En s’agenouillant devant moi, me laissant ainsi la vision directe sur l’écran de la télé, je la sens tirer sur le zip et en repoussant le slip en extraire ma queue libérée.
— Tu me sens bien ? dit une voix à l’écran.
— Oui.
— Tu aimes ?
— Oui.
L’homme bourre la femme. Le pervers a su trouver le bon angle afin qu’une de ses caméras soit aux premières loges. La queue sort un instant du fourreau et y replonge sans difficulté. La salope est ouverte. Elle se donne sans réserve et il est évident que, si sacrifice il y avait, il a cédé la place au plaisir. Je sais que Lise a eu beaucoup d’amants avant moi, mais jamais je n’aurais pensé qu’elle céderait si facilement. Et si je ne lui suffisais pas ? Et si elle avait sauté sur l’occasion pour se faire baiser ? Et si elle avait d’autres amants que moi ?
— Je me demande si nous ne faisons pas une erreur, dit soudain l’homme qui cesse de labourer ma copine.
— Quoi ?
Le quoi, est une vraie question, une question chargée d’angoisse.
— Votre copain n’aimerait peut-être pas !
Le silence est de courte durée.
— Vous ne pouvez pas me laisser comme cela !
C’est une supplication. La salope est si ...