1. Vue imprenable.


    Datte: 18/09/2019, Catégories: fh, ff, fhh, hplusag, fplusag, couplus, cocus, voisins, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe échange, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... en prendre qu’une partie et que pour le reste elle doit se contenter de le lécher tout au long d’une hampe qui n’en finit pas, ou plutôt qui commence sur deux belles couilles lisses et gonflées.
    
    Mais oui, je sais pourquoi je suis surpris. J’ai encore en mémoire la remarque du mari qui était censé découvrir l’infidélité de sa femme et qui lui avait dit : « Alors il a une plus grosse queue que moi ? » en parlant de celle du jeune amant. Simple phrase pour lancer un reproche, ou vérité ? Peu importe.
    
    Maintenant, Lise caresse d’une main les deux bourses alors que de l’autre elle branle l’homme tout en le pompant sans retenue. Tout de même, elle aurait pu en faire moins ! Si je ne savais pas qu’elle se sentait investie d’une mission, prête à se sacrifier pour notre couple, je pourrais penser qu’elle y prend du plaisir.
    
    Martine toujours à côté de moi doit sentir ma surprise et je sens que sa main se crispe sur ma cuisse, comme une façon de me réconforter.
    
    Lise suce, branle, caresse. Moi depuis longtemps j’aurais craché ma purée, mais Marc résiste.
    
    Quel dommage que le son ne soit pas à la hauteur des images. J’aurais aimé entendre le…, les…
    
    « Louis ! Voyons. Ce n’est pas n’importe qui, c’est ta copine que tu vois ainsi. Ce n’est pas normal de souhaiter cela », dit une voix dans ma tête. La voix de la raison, de la sagesse, de la droiture, de la fidélité.
    
    Et je comprends que l’homme va jouir ! Ses deux mains qui reposaient sur les accoudoirs, même si elles ...
    ... avaient commencé de bouger et de se crisper à mesure que l’homme perdait son contrôle, ses deux mains viennent se saisir de la tête de Lise. Comme dans un étau, elles bloquent la tête alors que la queue est encore dans la bouche. Il va jouir et veut que Lise le recueille. C’est la première vraie intervention de Marc. Un tribunal pourrait reconnaître qu’il n’a rien demandé, rien favorisé. Qu’il s’est juste laissé faire. Et qui le lui reprocherait ? Après tout, la femme est majeure et c’est elle qui a tout fait. C’est juste alors que les sens prennent le pas sur la raison que l’homme n’a pu se retenir de ce geste.
    
    Il jouit. C’est évident. N’importe qui reconnaîtrait cette crispation des lèvres, ces secousses qui poussent le bas-ventre. Lise est bloquée. Statue de chair rivée à la queue. Dans sa bouche doit se déverser le foutre de l’homme. Un foutre dont elle est la responsable.
    
    Il suffirait d’un geste. D’une claque de la main. D’un mouvement de tête. D’un grognement indistinct, mais obligatoirement traduit comme un refus de laisser sa gorge en réceptacle. Mais non. Lise ne proteste pas. Dois-je la considérer comme un brave petit soldat qui va au bout de sa mission ? Bien entendu ! Je suis injuste avec elle. Lorsque je vais la revoir, je n’aurai pas le droit de lui faire des reproches. Elle est de bonne foi et si c’est un malentendu qui la conduit à faire cela, j’en suis la cause.
    
    Mais les mains libèrent la tête. Marc a craché son jus dans la bouche de ma Lise. Une bouche ...
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