Vue imprenable.
Datte: 18/09/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
fplusag,
couplus,
cocus,
voisins,
fête,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... cul, mais il me caresse la bite.
Longtemps il est seul à bouger. Lise se décontracte de plus en plus. Elle se laisse aller. La bite de Marc la laboure de plus en plus facilement.
— Mmmm.
Je sais traduire l’incompréhensible. Chaque mot indistinct, chaque souffle, chaque grognement est chargé de sensations. Lise commence vraiment à apprécier. Marc le comprend. Il la chauffe doucement. On dirait qu’il la connaît comme moi. La bite est un pieu qui s’enfonce de plus en plus fort, de plus en plus profond. Pourquoi ai-je l’impression que Lise pousse son cul vers lui, se cambrant au risque que je sorte de sa fente. Moi aussi je pousse en avant.
— C’est bon. C’est bon.
Voilà, elle se libère. Elle quitte la chaleur de mon cou pour se redresser un peu. Son visage est en face du mien. C’est elle et ce n’est pas elle. Elle grimace. Ses lèvres se pincent. Ses yeux sont remplis de larmes.
— Oh. Louis. C’est bon.
Et puis dans un éclair de lucidité.
— J’ai honte. J’ai honte.
Marc est un piston. Le cul, un gouffre sans fond.
— Jouis, mon Amour, jouis, dis-je pour chasser une honte que je sais « que de façade », un dernier rempart à franchir, une frontière dont je serais un gardien complaisant. Je comprends combien pour elle, mais pour moi aussi, s’abandonner ainsi alors que nos souffles se mélangent, que nous pouvons lire sur le visage de l’autre le moindre de ses pensées, est plus difficile.
— Jouis. Jouis. Je t’aime. Il te fait du bien. Dis-moi. ...
... Raconte-moi.
Elle me fixe une seconde d’un regard perçant, mais cela ne dure pas. Déjà elle repart dans son plaisir. Elle retombe sur moi. Sa tête retrouve la chaleur de mon épaule. Marc se penche à son tour. En appui sur les deux bras, il couvre la femelle qu’il encule à grands coups de reins.
Lise gémit, gronde, souffle. Elle parle. Des mots sans suite, à moitié mangés. C’est bon, mais je voudrais plus.
— Lise, parle-moi. Je veux t’entendre. C’est mon plaisir.
— Oui.
Mais je comprends qu’elle est déjà emportée. Alors je me lance.
— C’est bon ?
— Oui. Oui.
— Tu le sens bien ?
— Oui.
— Il te laboure le cul.
— Oui.
— Et tu aimes cela.
— Oui.
— Et moi, tu me sens.
— Oui… Amour…
— Tu aimes avec deux hommes.
— Oui.
— Ils te remplissent.
— Oui
— Tu es une coquine.
— Oui.
— Cochonne.
— Oui.
— Salope.
— Ouiiiiii
Je ne sais si c’est cet échange ou la montée d’un désir à assouvir, mais elle se redresse, repoussant Marc qui un instant est chassé de son cul.
— Reviens.
C’est Lise, moitié implorant, moitié commandant. Marc retrouve d’une poussée la chaleur de son cul.
— Ahhhh.
Elle est en appui sur ses bras, mais n’est plus la Lise passive, subissant les assauts de son enculeur, savourant ma bite dans sa chatte. C’est une furie. Une femelle en chaleur qui se possède elle-même à grands coups de reins, cherchant à nous sentir au plus profond d’elle.
— Salope… Oui… et vous deux salauds… Deux salauds que je vais traire.
Elle bouge. C’est magnifique. ...