1. COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat (2/3)


    Datte: 17/09/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Alors que je viens de voir Geneviève partir vers des aventures certainement sexuelles, je vais jusqu’au trou dans le grillage du squat.
    
    La rue est vide, je me glisse rapidement dans le passage, évitant que l’on me remarque et j’entre par l’arrière dans le squat.
    
    • Tu vois Brutus, je savais que cette salope reviendrait, elles reviennent toujours quand elles l’ont vue une fois.
    
    Avance jolie pute, vient voir papa.
    
    Comme hier, je devrais laisser tomber mon sac de victuaille et détaler, mais j’avance.
    
    Je vois le chien Brutus dodelinant de la tête.
    
    Je glisse et tombe à genoux.
    
    Un court instant, je me rappelle que je viens de les poser là où l’urine tombait hier, mais je n’en ai cure, cela me laisse indifférente.
    
    Si Sylvain, mon homme, avait éteint le feu en moi hier ou ce matin je serais restée la femme fidèle et aimante que j’ai toujours été.
    
    Là, malgré l’odeur de pisse très présente, j'avance vers cet homme inconnu qui me regarde, me défiant du regard.
    
    Je suis face à lui.
    
    Je pose le sac au sol et je fais ce que je ne pensais jamais oser faire, je tends ma main vers sa braguette.
    
    Je l'ouvre et la glisse dans son pantalon, qui pourrait tenir tout debout tellement il est imprégné de nombreuses choses.
    
    Depuis combien de temps, n’a-t-il pas vu une machine à laver ?
    
    Je prends en main son sexe qui semble mou, mais déjà si long et si volumineux.
    
    Je le sors, des poils longs et sombres sortent aussi.
    
    Il a une grande toison autour de son sexe ...
    ... et de ses boules.
    
    Je m'accroupis le mettant directement dans ma bouche, quel bâton de chair.
    
    J’ai du mal à lui faire franchir mes lèvres tellement il est gros.
    
    Je sais que ce que je fais s’appelle une fellation, Geneviève m’en a parlé une fois, elle m’a dit aimer pomper son homme et surtout les deux garçons qu'elle rencontre régulièrement sur le chantier voisin.
    
    J'en ai été choquée à cette époque, j’étais ce que l’on appelle une oie blanche, là, ma langue nettoie le morceau qui prend de plus en plus de volume.
    
    Si le pantalon est sale, que dire de cette verge, depuis combien de temps n’a-t-elle pas vue une goutte d’eau, l’odeur est acre, mais rapidement, je m’y fais.
    
    • Ben ma salope, tu suces comme une reine, ton mec ne doit pas s’ennuyer avec toi ! Attends, je vais te baiser, sinon, je vais te remplir l’estomac de mon sperme.
    
    Je suis dans le brouillard, je sens qu’il me manie comme si j’étais une poupée de chiffons et je me laisse faire, mieux une poupée gonflable, il y en avait une dans un film qui est passé à la télé.
    
    Je me retrouve le cul en l’air, la tête sur le matelas puant aussi fort que lorsque j’ai sorti sa bite de son pantalon comme je l’ai dit tellement crade qu’il pourrait tenir debout avec en prime l’odeur me prenant fortement aux narines.
    
    Je ne suis plus qu’odeur nauséabonde, mais étrangement, j’aime ça, surtout quand la barre que j’espère avoir en moi entre d’un seul coup.
    
    Je suis si trempée que son sexe glisse au plus profond de ...
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