La victoire de Sophie (1)
Datte: 17/09/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Aranthebes, Source: Xstory
... Tout en frottant ma bite en silicone contre lui, je déboutonnai son froc et le lui descendis sur les chevilles.
Il était silencieux, mais je devinais à la bosse de son boxer qu’il hésitait entre plaisir et crainte... Appuyant mon appendice sur ces fesses encore protégées par son sous-vêtement, je lui dis « Tu sens ma queue, bon elle n’est pas très grosse mais pour une première... ». A peine dit cela, je tirai son caleçon vers le bas à mi-fesses et écartai ses deux globes pour cracher dans sa raie... Je le sentis se tendre... dans tous les sens du terme...
J’ouvris l’emballage du préservatif extra lubrifié, et l’installai sur mon sexe. Passant l’emballage bleu devant ses yeux, je lui enfournai dans la bouche en le narguant « Allez une capote à cul pour ton petit cul ! Mords dedans si tu ne le sens pas bien ! ».
Je plaçai mon sexe factice contre sa raie, contre son anus poilu mais je ne faisais que mettre de petites pressions en alternant des claques sur les fesses. Je le frottais, l’agaçais et le taquinais pour faire monter en moi le plaisir. Lui, il attendait le moment fatidique subissant ce petit jeu et la fessée que je lui administrais.
Moi, je savourais cet instant... Je lui susurrai à l’oreille « Prêt à devenir mon petit enculé ! ». Nouvelle tension musculaire chez lui...
Après quelques minutes de ce traitement, je commençai à m’enfoncer en lui. C’était grisant. Je regardais son cul résister puis lentement s’ouvrir, j’essayais de profiter des frottements ...
... pour m’exciter aussi. Il émit un petit grognement. Je basculai mon poids sur lui et fis disparaître mon organe dans son cul.
J’étais entrée. Je venais de le sodomiser. Je sentais mon pubis contre son cul, j’adorais ça !
Il avait encaissé le choc en silence. Je ressortais doucement, longuement, entièrement avant de me renfoncer cette fois-ci plus brusquement. Ça lui arracha un nouveau grognement. En répétant cette opération plusieurs fois je le sentis se détendre... je me calais pour en profiter aussi.
« Alors t’aimes ça mon cochon » lui lançai-je en continuant mes va-et-vient « Et toi, il te plaît mon cul ? » lança-t-il dans un souffle. Je m’enfonçais au fond de ses entrailles pour punir cette arrogance mes mains fermement accrochées à ses hanches, je poussais au fond, toujours plus loin.
Je lui claquais le cul en accélérant la cadence, je ne sentais plus trop de résistance, « Et bien tu te dilates ! » lui dis-je en ressortant totalement. Il se contentait d’émettre des sons étouffés. J’éprouvais une jouissance mentale à lui prendre le cul, à l’avoir à ma merci, à le pénétrer !
Une main sur la nuque, je l’emmenai empêtré dans son pantalon et son caleçon vers la chambre. Il manqua de trébucher. Lui claquant une nouvelle fois le cul, je lui lançai « A quatre pattes petite chienne, Sophie va bien t’enculer, te défoncer, te déchirer à fond ! »
Je crachai sur son œillet mi-clos, retirai la capote maculée, et en pris en autre, une rouge avec des petits picots. Cette ...