1. Voyeuse et frustrée


    Datte: 17/09/2019, Catégories: f, fh, voisins, humilié(e), dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral préservati, pénétratio, Auteur: Hal Jordan, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent :
    
    Après une expérience peu concluante avec Jean-Marc, Karine vit seule. Elle a accepté d’assurer la gérance d’un « tabac-journaux », et tue sa solitude en s’offrant elle-même son plaisir sexuel.
    
    Huit années sont passées…
    
    Elle ne le supportait plus, son petit appartement sous les toits. Enfin, non, au fond d’elle, elle y est attachée… Mais c’est un sentiment étrange, comme mêlé de regrets et de soulagements. C’était le premier appartement de Karine, celui qu’elle occupait alors qu’elle n’était que l’employée du magasin de journaux au pied de l’immeuble.
    
    Elle l’avait quitté quand elle avait décidé de donner une dernière chance à son histoire avec Jean-Philippe. Ils avaient vécu presque cinq ans ensemble, avaient eu cette petite fille, avant de finalement aboutir à un constat d’échec.
    
    L’appartement, en fait une dépendance du magasin, n’avait pas été reloué. Il servait de pied-à-terre à Karine, elle y prenait ses repas et y stockait les décos et PLV du magasin ainsi que divers gadgets qui se vendaient très mal. Elle réunissait les dernières affaires dans le dernier carton. S’assurant de ne rien oublier, elle décolla du mur la vieille étagère Ikea, en agglo décoré façon pin. Dans un bruit sec, un magazine glissa sur le sol de tomettes. Karine le reconnut sans peine, bien que l’ayant oublié. C’était celui qui, quelques semaines durant, lui avait donné tant de plaisir, il y a de cela bien longtemps.
    
    Elle laissa échapper un soupir de ...
    ... nostalgie sur ces années-là. À 25 ans, un rien la mettait en émoi. Maintenant qu’elle a bien entamé la trentaine, les choses ont bien évolué. La vision de ce jeune homme tout à ses caresses la laisse presque indifférente. Même, ça la met mal à l’aise en lui rappelant ces séances de webcam parfois avilissantes où, après la jouissance, elle s’était retrouvée stupidement nue, face à ces inconnus souillés de leur propre semence. À quoi le désir nous réduit-il parfois…
    
    Mais l’idée pourtant la séduisait encore quelquefois, tiraillée comme d’habitude entre le plaisir du corps et la raison de l’esprit. D’un geste rageur, elle mit le magazine dans le carton « À jeter ». Elle se drapa dans le rôle d’ancienne gérante d’un magasin vendu par les héritiers de son propriétaire, et n’avait pas d’états d’âme à avoir.
    
    La voici de retour chez elle. Seule dans ses murs et dans sa tête. C’est un vendredi vide ! Par précaution elle a laissé la petite à sa mère, ne sachant pas combien de temps allait prendre la remise des clefs aux nouveaux propriétaires. Elle est dans son trois-pièces neuf, à défaut d’être moderne, dans l’un de ces immeubles qu’elle a toujours décrits comme « à la française » parce qu’elle ne les a jamais vus que dans les quartiers neufs des villes de France. Des arêtes marquées, une architecture très géométrique, un usage extensif du crépi pour minimiser les coûts, des tons sable ou gris, soulignés de bleu. Pas vraiment beau, mais clean. Et surtout des volumes intérieurs ...
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