1. Soumise, sinon rien. (5)


    Datte: 17/09/2019, Catégories: Erotique, Auteur: xicemanx, Source: Xstory

    En montant dans la voiture, je lui demandais de bien vouloir passer ses bras derrière le siège. Une paire de menottes vint alors lier ses mains.
    
    Je sortis de ma poche un bandeau pour les yeux que je plaçais sur elle.
    
    — Ca va ?
    
    — Je me sens totalement sans défense. J’ai peur de ce que tu pourrais me faire... mais je me sens tellement chaude, j’ai tellement envie que tu me baises...
    
    — Cool, tranquille. Tout vient à point à qui sait attendre.
    
    L’œuf vibrait par intermittence et je commençais à caresser ses seins et exciter ses tétons.
    
    Elle aimait ça.
    
    — Steph, je veux que tu me dises de quoi tu as envie, là, maintenant.
    
    — J’ai envie que tu me prennes, que tu me baises.
    
    — Tu peux faire mieux. Avec toutes nos conversations, dis-moi ce que tu veux.
    
    — Je veux être à toi, mais s’il te plait, baise moi.
    
    — Ca ne me convient pas... on reprendra cette conversation à la maison. Dans l’attente...
    
    Et je baissais le haut de sa robe. Elle se retrouvait donc bras attachés, à ne rien voir, avec les seins à l’air. C’est ainsi que je démarrais la voiture.
    
    Il était tard et il n’y avait pas grand monde sur la route. Cependant, je lui faisais croire qu’à chaque feu, nous étions garés à côté d’autres voitures et que les mecs présents reluquaient ses seins. Elle se sentait tellement gênée...
    
    Je décidais cependant de faire un petit détour. Je pris un petit chemin qui menait à un petit bois. Nous étions seuls et tranquilles. J’arrêtai la voiture, défis ses liens ...
    ... et lui retirai son bandeau des yeux.
    
    Je lui demandai de descendre de la voiture et de se mettre devant les phares.
    
    — Enlève ta robe !
    
    — Non, mais tu es fou, on pourrait nous voir.
    
    — Ne discute pas. Enlève ta robe, tout de suite ! Sinon, je te plante là et tu te débrouilles pour rentrer.
    
    Elle ne broncha pas.
    
    Je descendis de la voiture, armé d’un couteau de poche.
    
    — Je vais t’aider alors...
    
    Je pris le haut de sa robe et commença à la découper de haut en bas. Elle se tenait nue devant moi. Je pris sa robe et la lacéra en mille morceaux.
    
    — Voilà, plus de robe maintenant ! Ce n’était pas si compliqué. A genou.
    
    Je lui appuyai sur les épaules pour la faire descendre et sortis ma queue.
    
    — Tu veux te faire baiser. Je te baiserai comme tu me suceras. A toi de jouer.
    
    Elle se mit donc à me sucer. Elle y mettait plus d’entrain et d’envie, mais ce n’était toujours pas ça. Au bout de trois minutes, je l’arrêtais.
    
    — Mais qui t’a appris à sucer ? Marc ? C’est nul ce que tu fais ! Allez, remonte dans la voiture.
    
    Elle ne disait rien. Elle se sentait penaude, nulle. Je commençais doucement à prendre l’ascendant psychologique sur elle.
    
    Arrivés sur le parking de la résidence, je garais la voiture. Il nous restait le parking à traverser pour accéder à l’appartement.
    
    — Sors !
    
    — Mais je suis nue.
    
    — Sois tu sors et tu vas à l’appart, sois tu restes dans la voiture. Comme tu veux.
    
    Après avoir jeté un œil à l’extérieur, elle se décida à sortir de ...
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