1. Marie et le sculpteur aveugle (15)


    Datte: 13/03/2018, Catégories: Erotique, Auteur: catchme, Source: Xstory

    ... plusieurs secondes pour reprendre par une expiration bruyante et rauque.
    
    L’autre homme ne cesse de me caresser les cuisses et passe et repasse sa main sur mon pubis tout lisse qu’il poli comme une œuvre d’art.
    
    Tout comme les autres, il se masturbe de plus en plus vite.
    
    Les deux derniers arrivés s’aventurent à me prendre mes mains pour que je les branle à mon tour alors qu’ils me malaxent les seins et me triturent les mamelons. Ils sont tellement exacerbés, qu’ils ne peuvent raisonnablement pas être plus gros.
    
    Celui que j’appelle le professeur a une bitte longue et fine alors que le retraité en a une courte et épaisse. Je les décalotte et découvre qu’ils mouillent autant que moi. Fous d’excitation, ils donnent des coups de reins dans mes mains en fourreau pour s’ajouter à mes propres coups de poignée.
    
    Je sens leurs sexes trembler et trépigner d’impatience. Ils sont si vigoureux et plein de vie ! Je resserre mes doigts dessus au fur et à mesure qu’ils poussent plus fort.
    
    Les frocs d’Alain et Claude sont non seulement gonflés à bloc, mais leur excitation est telle qu’une tache de mouille se dessine au somment de leurs bosses.
    
    Je n’arrive plus à masturber les autres tant la proche jouissance m’empêche de me concentrer. Je me contente de serrer mes mains en fourreaux autour des sexes turgescents des deux autres hommes qui me baisent littéralement les mains en me pelotant les seins sans vergogne.
    
    Le type qui me lèche me doigte en même temps et se ...
    ... masturbe de son autre main de plus en plus vite. Je sens son souffle guttural sur ma chatte qu’il continue d’exciter si bien que je suis prise par les premiers spasmes de l’orgasme, ce point d’équilibre entre l’explosion imminente et la possibilité de revenir en arrière si tout s’arrêtait mais avec une frustration sans nom.
    
    Je n’en peux plus des palpations de toutes ses vicieuses mains, de leurs remarques salaces et soudain, d’un autre petit doigt que le type m’enfonce dans le cul !!!
    
    Sous le choc, j’inspire un grand coup .
    
    C’est le déclic. Le doigt de trop. L’humiliation de trop.
    
    J’entre en apnée plusieurs secondes et me tétanise. Avant l’explosion inexorable.
    
    Alain et Claude, goguenards, annoncent alors fièrement aux autres l’imminence de l’orgasme qui va me submerger.
    
    Et tout d’un coup, je LÂCHE TOUT !!!
    
    Je pousse de grands cris qui m’échappent totalement et pars dans des contractions de jouissance telles qu’Alain et Claude ont du mal à me tenir.
    
    Mon corps désarticulé s’arcboute à l’extrême, propulsant ma poitrine en l’air, mon sexe crispé sur les doigts du pervers, puis se fige sous les yeux stupéfaits de tous ces inconnus chauffés à blanc.
    
    « Elle jouit ! elle jouit ! » s’exclament-t ’ils tous en extase.
    
    Je pousse des gémissements indécents et resserre mes cuisses sur la tête de l’homme qui prolonge mon orgasme en ne cessant d’aspirer mon bouton comme une ventouse et d’enfoncer ses doigts au plus profond de ma grotte gluante avec un bruit d’une ...
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