Marie et le sculpteur aveugle (15)
Datte: 13/03/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: catchme, Source: Xstory
... ressens, Claude ne résiste pas à l’envie de m’enlever le dernier minuscule rempart de fin textile qui cachait encore -à peine- mon ultime bastion intime.
Les deux hommes à l’extérieur commencent à s’animer sérieusement.
Sous leurs encouragements et celui d’Alain qui me tient fermement, Claude m’arrache littéralement le fragile et ridicule petit string.
Dans un dernier réflexe puéril, je sers les cuisses pour leur dissimuler la douce peau glabre de mon intimité la plus secrète. Peine perdue.
Sous leurs yeux brillants de gourmandise, mon plus précieux objet du désir se dévoile dans son aspect le plus juvénile qu’ils n’auraient jamais imaginé : ma fente imberbe les scotche littéralement.
Lorsque Claude et les deux hommes la découvre ainsi, aussi lisse qu’une enfant qui vient de naitre, ils n’en croient pas leurs yeux car à cette époque, peu de femmes se rasaient la chatte.
« Tu vois, je te l’avais dit » fait Alain d’un geste rapide à Claude.
Alors, des remarques salaces fusent. La honte m’envahit.
Devant leurs yeux lubriques et la tension qui monte, je sers mes cuisses au maximum mais mes efforts restent vains.
Totalement surchauffés, Alain et Claude me soulèvent et encouragés par les autres, me prennent sous les bras et sous les fesses.
Ils me décollent du sol et me forcent à écarter mes cuisses en grand, bien en face de tous ces messieurs, à hauteur de ceinture.
Je me débats toujours pour la forme, sachant d’une part que je ne suis pas de ...
... taille à leur résister, et que d’autre part, l’abondant afflux de cyprine me rappelle le plaisir pourtant humiliant mais indescriptible que je prends.
Je suis folle de rage contre moi-même de succomber aussi facilement à cette montée de libido incontrôlable.
Plus je me débats, plus je me cambre et me tortille, et plus seins s’agitent et mon corps se tord et prend des poses encore plus aguichantes !
M’apercevant que je n’arriverai à rien et que mes jus inondent ma fente sans discontinuer, je me résous et détourne la tête alors qu’Alain et Claude me tiennent fermement en m’écartant les jambes de force et m’exposent en l’air comme une bête, prisonnière de leurs quatre bras.
Les deux hommes, comme attitrés par un aimant, s’approchent…
Les types bavent et écarquillent leurs yeux lubriques et vont jusqu’à oser, à leur tour, poser leurs mains dépravées sur mes cuisses en remontant lentement vers le V grand ouvert et brillant qui suinte d’un fluide suspect indécent…
L’absence totale de pilosité à cet endroit les fascine. Mon sexe totalement nu et parfaitement lisse s’expose intégralement dans la plus parfaite indécence.
Dans cette position dilatée forcée, ma grotte rose luisante de contentement s’ouvre au plus profond comme la gracieuse éclosion d’une fleur.
Hypnotisés, ils s’approchent jusqu’à coller leurs visages devant mon sexe béant qu’ils reniflent comme des animaux !
Afin de mieux observer la cyprine qui suinte, Alain les incite même à me toucher en leur ...