Marie et le sculpteur aveugle (15)
Datte: 13/03/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: catchme, Source: Xstory
... magasin.
Je ne les vois pas et m’aperçois alors qu’il y a un panneau ‘ Fermé’ avec une cordelette devant le couloir des cabines pour hommes lorsque soudain, un homme rapplique avec des vêtements à essayer.
Mince !
Je cours vite me réfugier dans ma cabine et tire le rideau qui ne couvre pas tout et attends. Quelques minutes plus tard, les deux brigands reviennent, hilares.
« Mais qu’est-ce que vous foutiez bon sang ! »
« Alors ? T’as choisi la lingerie ? »
« J’ai rien choisi du tout ; rendez-moi ma robe »
« Fais nous d’abord voir la lingerie »
« Non »
« Si tu veux ta robe, viens la chercher »
« Vous êtes pas possible : Y’a personne d’autre dans le couloir ? »
« Non, vas-y »
"Mais j’ai vu un homme rentrer"
"Mais non, y’a personne on te dit"
Je passe la tête par le rideau et vois mes deux lascars reculer jusqu’à l’entrée du couloir alors qu’un homme (!) se change dans la cabine d’à côté.
« Mais revenez ! »
« Non, marche jusqu’ici »
Je peste et refuse pendant quelques secondes.
Puis, je vérifie que l’homme est toujours occupé à essayer ses vêtements et leur demande par signes si je peux sortir.
Ils me disent d’attendre.
Finalement, ils ne sont pas si méchants que ça. Au moins, ils vont faire en sorte d’éviter que quelqu’un arrive au même moment.
Après deux minutes d’attente, ils me font signe de sortir.
« Je cours en sautillant discrètement jusqu’à eux en me cachant la poitrine.
« Bon, rendez-moi ma robe ...
... maintenant ! »
« Les mains derrière le dos d’abord »
Je peste et rougis mais m’exécute au moment même où un autre homme déboule avec des pantalons !
Il manque de me rentrer dedans et se fige, aussi surpris que je suis effrayée.
Il est grand et massif, la quarantaine, le crâne dégarni et des yeux perçants. Il baisse son regard sur ma poitrine exposée que je couvre maladroitement de mes mains alors que les deux garçons sont pliés de rire.
Les petites canailles !
« Désolé » fait le Monsieur « Mais toutes les cabines hommes de l’étage sont fermées apparemment » Et il ajoute « C’est un coup de chance on dirait… » Il reste planté là, à me reluquer de haut en bas avec gourmandise.
Les deux fripouilles ont bricolé un panneau et redirigé tous les hommes dans mon couloir !
Je fais demi-tour et marche prestement jusqu’à ma cabine en fondant de honte à l’idée d’exposer mon corps nue uniquement couvert d’une petite ficelle qui fait le tour de mes hanches et pénètre profondément dans la raie de mon cul qui se tortille sous leurs regards !
Les deux garçons parlent discrètement à l’homme qui arbore un grand sourire et entre dans la seule cabine de libre restante, à savoir la première proche de l’entrée tandis que l’autre homme, intrigué par mes aller-retours, sort de sa cabine pour voir ce qui se passe et m’aperçoit presque entièrement nue par le large entrebâillement du rideau trop court de ma cabine.
Il est plus jeune, la trentaine, mince, cheveux presque ...