1. Mon prof de français


    Datte: 16/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: SarahG, Source: Hds

    M. Guy, mon professeur de français, est jeune, grand et élancé. Il n’est pas particulièrement séduisant au premier abord, mais il a une prestance et une autorité indéniables. Pendant ses cours, j’aime m’installer au troisième rang, ni trop proche ni trop éloignée de son bureau, sur un pupitre où je m’assois seule, pour que rien ne puisse troubler ma rêverie. Cela peut paraître anodin mais, à peine assise, sans même m’en rendre compte, je croise mes jambes. Je les serre et les desserre tout au long du cours plus ou moins inconsciemment, même quand je prend des notes. Ainsi, en toute discrétion, j’exerce une pression délicieuse sur mon clitoris et je passe le cours dans un état d’excitation constante. Je suis bien trop réaliste pour espérer pouvoir le séduire, mais s’il savait tout ce qu’il me fait dans mes rêveries… Il y a une scène en particulier que j’aime me repasser en boucle.
    
    La sonnerie retentit, c’est la fin du cours. Le reste des étudiants quitte la salle avec empressement, c’est l’heure de la pause déjeuner. Moi, je reste à ma place, ayant pris l’habitude de manger sur le pouce dans la salle de classe pour pouvoir travailler un peu. Je ne suis pas la seule à faire cela, mais aujourd’hui tout le monde est sorti. Profitant de ma solitude, je m’étire voluptueusement sur ma chaise. Alors que je parcoure nonchalamment la salle des yeux, mon regard s’arrête soudain sur le bureau du professeur, où se trouve une écharpe mauve. Un sursaut d’excitation me traverse, et ...
    ... sans même réfléchir je me lève pour m’en approcher. Je suis quasi certaine qu’il s’agit de la sienne. Je m’en saisis d’une main avide, et je la porte à mon visage : elle a une odeur poivrée, mêlant tabac, eau de cologne et une senteur plus musquée qui ne peut être que celle de sa peau. L’instant suivant je suis assise derrière le bureau, ma main droite maintenant l’écharpe au niveau de mon nez et la gauche glissée sous ma jupe, et je commence à frotter avec frénésie le tissu de ma petite culotte sur mon sexe déjà tout humide. J’ai presque l’impression d’être contre lui, de pouvoir respirer ce parfum à sa source et de sentir la chaleur de son corps. Les yeux fermés, je me laisse doucement glisser dans des fantasmes de plus en plus fous à mesure que mon excitation grandit. Je suis sûre qu’il est très bien membré, je l’imagine autoritaire, très exigeant, dominateur... Ma rêverie s’interrompt brusquement lorsque je sens un poids sur mes épaules où deux mains viennent de se poser. Pétrifiée par la honte, je n’ai de toute façon pas besoin de me retourner pour savoir de qui il s’agit : l’odeur obsédante remplit désormais mes narines : c’est M. Guy.
    
    « J’ai oublié ceci. » dit-il en tirant sur un coin de l’étoffe, qui glisse avec douceur sur ma gorge et contre ma joue avant de regagner la main de son propriétaire. Je ne sais plus où me mettre, mes joues me brûlent et sont probablement rouge pivoine. Comment ai-je pu ne pas l’entendre entrer ? J’ouvre la bouche avec l’intention de ...
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