1. Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel (1)


    Datte: 15/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lyon Libertin, Source: Xstory

    ... faire mal et j’en ai ressenti une grande frustration ! Une fois de plus et quelques années plus tard, dans ce club échangiste, ma femme ne voulut pas aller plus loin et nous repartîmes, sans que ma queue ait vécu autre chose qu’une belle émission de lubrifiant au bout du gland. Mais le ver était dans le fruit : elle me proposerait, quelques jours plus tard, de réessayer dans un autre club et moi, je ne quitterai plus jamais l’esprit libertin, qui est encore le mien vingt ans plus tard.
    
    Je ne saurai dire si c’était le samedi suivant, ou quinze jours plus tard, ou plus encore, mais nous sommes bel et bien retournés en club pour retenter l’expérience. Je ne sais plus non plus quel était mon état d’esprit : espérai-je avant tout renouer une relation sexuelle avec elle, ou étais-je déjà dans l’idée de baiser avec d’autres filles (je m’intéresserai aussi aux mecs, beaucoup plus tard...) et de vivre comme dans un film porno ? Ce qui est sûr, c’est que pousser la porte du premier club avait été comme une révélation : derrière certains murs, il y avait une vie, une ambiance, qui était complètement différente du « reste du monde ». J’avais l’impression qu’on m’avait donné de nouvelles clefs, que j’étais devenu initié à quelque chose que je ne soupçonnais pas. Nous avons donc pénétré dans cet autre club, à l’ambiance plus intime et chaleureuse, conçu sur deux niveaux : au rez-de-chaussée, un accueil sous forme de bar, avec un ou deux coins câlins, et au sous-sol, la pire de danse et ...
    ... plusieurs coins câlins de diverses tailles.
    
    Lors de cette seconde visite, nous n’avons rien fait ensemble. Nous ne referions d’ailleurs plus jamais rien tous les deux : pour moi, cette irruption dans le monde libertin signifierait le retour à une vie sexuelle épanouie, mais pas avec elle. J’ignore si pendant nos années de disette érotique, elle m’avait trompé (j’aurais tendance à penser que oui) et donc si cette expérience en club allait être pour elle aussi un retour à l’activité charnelle ou juste une activité différente. En tout cas, elle s’est faite sauter dans un coin câlin, sans même que j’ai vu par qui. Je me souviens d’une sensation assez dure dans mon cœur, la voir disparaître dans une salle fermée, imaginer son corps livré à d’autres alors qu’il s’interdisait au mien depuis si longtemps. Heureusement, je trouvai assez rapidement le moyen d’oublier cette souffrance.
    
    Je réussis à capter l’attention d’une belle femme, légèrement plus âgée que moi, accompagnée de son mari, un colosse de près de mètres. Sans que je me souvienne des détails de mon approche, je me retrouvai moi aussi convié à entrer dans un coin câlin où officiaient déjà un ou deux couples. Celui qui m’avait convié se retrouva rapidement nu, lui allongé sur le skaï rouge, et elle lui suçant la queue en tendant son magnifique cul vers le ciel. Je n’en revenais pas ; si ma bite avait eu le don de parole, je pense qu’elle aurait hurlé pour obtenir sa libération tant je bandais comme un âne en regardant ...