Le Frère de mon Ex (5) - Histoires de Sexe

Le Frère de mon Ex (5)

La salle de bain de chez Florian n’a pas été bien dure à trouver, c’est une porte qui se situe dans le couloir juste en face de la chambre. Si bien que je peux voir dans le miroir Florian toujours nu, étendu dans son lit en train de jouer avec son téléphone. Il était un peu plus d’une heure du matin et je me rendis vite compte que cela faisait presque deux heures que Florian m’en faisait voir de toutes les couleurs ! Avant d’entrer dans la salle de bain, je jette un petit coup d’œil vers le bout du couloir qui donne sur le salon et l’entrée. La porte est restée entre-ouverte et les caleçon et short de mon étalon gisent toujours au sol, là où il les a abandonnés. Je prends l’initiative de verrouiller l’entrée et retourne vers la salle de bain en prenant soin de laisser la porte de celle-ci grande ouverte. Je ne jette aucun regard vers la chambre en passant, car je ne veux pas qu’il pense que je suis un rut sur lui, je veux qu’il me désire !

Je m’approche de la baignoire et commence à faire couler l’eau, pendant ce temps, je me positionne face au miroir et fais semblant de rectifier ma coiffure, je contracte mes muscles l’air de rien, sans prêter attention à ce qu’il peut bien faire, je lui offre donc un panorama sur le cul qu’il vient de défoncer ainsi que sur mon torse qu’il a l’air d’adorer et qu’il peut mater tant qu’il le veut grâce au miroir. Une fois que ce petit manège a assez duré à mon goût, je décide de croiser son regard...

Il me fixe, se caresse en même ...

... temps et me dit :

— Tu joues vraiment au Petit Prince toi ! Si tu me chauffes comme ça, tu vas me trouver ! Et ce que je t’ai fait tout à l’heure, t’auras l’impression que c’était de la tendresse à côté de ce que je vais te mettre !

En éclatant de rire.

Ce à quoi je réponds :

— Parce que tu penses m’avoir fait mal ? Désolé, je me rappelle plus trop bien, mais t’inquiète, tu t’en es très bien sorti ! Un vrai bichon !

Pour le taquiner.

Cette annonce eut l’effet que j’attendais, il se leva d’un bon et s’avança vers moi le buste bombé, la démarche virile, la queue se balançant au rythme de ses pas... Un spectacle magnifique ! Il approcha son visage du mien encore moite de son sperme et me dit :

— Tu penses faire mieux ? C’est ça ?

Je répondis que c’était même certain ! Bêtise puisque je n’avais jamais été actif de ma vie. A ce moment-là, il m’embrassa, me mordillant les lèvres, me caressant tous les muscles du buste du cou jusqu’aux hanches, ses mains chaudes lançaient de la tension électrique dans tout mon corps, j’avais l’impression que mon gland allait exploser sous la pression. Quand tout à coup, il prit mon pénis entre ses mains pour la deuxième fois en plus de deux heures. Il me branla, embrassant et léchant chaque centimètre carré que sa bouche pouvait atteindre. Il descendit lentement jusqu’à mon membre qu’il suça comme jamais, aucune fille ni aucun homme n’avait su le faire auparavant, il gémissait à l’ouvrage et caressait mon anus de sa main libre ...