1. Nouvelle demeure 06


    Datte: 14/09/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... l'on t'ordonne de faire? Poursuivit-il légè-rement incrédule.
    
    Je grognais que oui.
    
    - Pourquoi?
    
    - Je n'ai pas le choix... Je dois le faire... Rétorquais-je à contrecœur.
    
    - Dois-tu faire ce que n'importe qui t'ordonne? Ne croyant pas en-core en sa bonne fortune, se demandant maintenant comment utiliser cette information.
    
    - Ainsi si je t'ordonnais de te foutre à poil, tu le ferais?
    
    Je hochais encore la tête effondrée.
    
    Il ne savait pas encore comment, mais il savait que d'une manière ou d'une autre il est allé profiter de cette occurrence.
    
    - Déboutonne trois boutons de ton corsage! Lui intima-t-il.
    
    Je soupirais résignée et obtempérais rapidement.
    
    - Putain j'ai vraiment un pot de cocu! S'esclaffa-t-il hilare.
    
    Ses mains se portèrent sur mon buste, il empauma mes nibards et les malaxa gentiment avant de détailler ses mamelons et de découvrir mes piercings.
    
    Je sentais mon arrêt s'approcher, je lui dis que je devais descendre là.
    
    Il me répondit sèchement :
    
    - Non, tu ne descendras pas à cet arrêt... Le mien arrive et il a un motel tout proche... Nous allons nous y rendre, y prendre une chambre pour baiser pendant un bon moment!
    
    Je suppose que c'était inévitable, il ne voulait pas me suivre chez moi et voulait me baiser sur place, dans l'immédiat.
    
    Je me contentais de hocher la tête et il continua à palper mes charmes le temps de parvenir à son arrêt.
    
    Il se leva promptement et je commençais à reboutonner mon chemisier.
    
    - Non! Me ...
    ... dit-il
    
    - Je t'aime mieux comme ça!
    
    Nous nous trouvions trois arrêts plus loin et je le suivis jusqu'à l'hôtel qui faisait le coin.
    
    Il m'ordonna d'entrer et de réserver une chambre je lui rétorquais qu'avec ma tenue ils risquaient de ne pas accepter de m'en louer une.
    
    - C'est d'accord reboutonne ton décolleté... Et maintenant va réser-ver une chambre et viens me rejoindre!
    
    Je me pressais de m'exécuter.
    
    Le préposé me couvait d'un oeil concupiscent, mais il ne me dit rien. Je lui tendis ma carte de crédit et attendis qu'il me ma rende.
    
    Quel suprême ironie que d'avoir à payer une chambre pour qu'un étran-ger me viole!
    
    Je signais le talon de la carte de crédit et retournais rejoindre mon su-borneur. Sur le chemin de la chambre je lui demandais de me laisser té-léphoner à mon patron que je serai en retard.
    
    Dès arrivé dans la chambre il appela son boulot pour signaler qu'il était malade.
    
    Puis il me dit d'appeler mon patron une fois que je me serai déshabillée.
    
    Je me dépouillais de mon chemisier et de ma jupe, il vit alors le bijou qui ornait mon clito.
    
    Je m'allongeais dans le lit, il s'agenouilla entre mes cuisses et tandis que je téléphonais à monsieur Jefferson cet étranger commença à s'amuser avec ma chatoune et mon bijou de clito.
    
    Je ne savais toujours pas son nom, mais c'était la norme que je vivais journellement.
    
    Des hommes se pointaient chez moi, et me baisaient à couilles rabattues sans même me dire leurs noms.
    
    Ce n'est pas que je ...
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