1. Dix ans ont passé


    Datte: 14/09/2019, Catégories: fh, pénétratio, fdanus, fsodo, Auteur: bnn91000, Source: Revebebe

    ... servir. J’ai l’air un peu bête avec la bite bien tendue au milieu de la cuisine. Elle me regarde en souriant et me dit :
    
    — Pas tout, tout de suite, il faut en garder un peu.
    
    Nous prenons notre café l’un contre l’autre, je n’ai pas débandé et de temps à autre, elle me prend la bite entre ses mains comme pour juger de la dureté. Je ne reste pas inactif non plus et la caresse constamment, lui agace les seins, lui met un doigt dans le vagin ou dans l’anus.
    
    Puis elle se lève et m’entraîne vers sa chambre. Elle se couche sur le dos, jambes écartées et me dit :
    
    — Viens.
    
    Je ne me fais pas prier et m’allonge sur elle, une main sur un sein, l’autre pour me retenir et je l’embrasse. Je fais venir ma bite sur son clitoris doucement. Je l’entends gémir sous la caresse. Elle s’impatiente,
    
    — Viens, me dit-elle encore.
    
    Je me glisse au plus près de son oreille et lui demande :
    
    — Où veux-tu que je la mette ?
    
    Ce à quoi elle me répond :
    
    — Où tu veux mais par-devant et vite.
    
    Alors je rentre en elle, d’une traite dans sa petite chatte toute humide et je commence mon va-et-vient. Elle gémit plus fort, referme ses jambes dans mon dos ce qui lui relève ...
    ... les fesses et me permet d’aller plus loin. Je lui dis mon envie de la sodomiser ce à quoi elle me répond par :
    
    — Ben alors, t’attends quoi ?
    
    Je ressors alors doucement de son antre et guide ma queue vers son anus, elle m’arrête et me dit qu’il n’y en a pas eu d’autre que moi par là… Donc dix ans sans sodomie ! Ça va être un régal. Je me positionne doucement devant son cul et pousse lentement, sa corolle s’ouvre et me laisse passer, elle me regarde et tique un petit coup avant d’appuyer sur mes fesses et me faire rentrer en elle. Cela m’excite alors totalement et je finis ma progression, une fois au fond de son cul je lui demande si ça va. Avec son approbation, j’entame mon pilonnage. Je la sens se resserrer autour de mon pieu et elle me demande de continuer en joignant le geste à la parole.
    
    Je lui fais l’amour comme nous le faisions à l’époque où nous nous sommes connus, sans gêne, avec envie et c’est ainsi que je l’ai vue se crisper et jouir dans un halètement que je connaissais bien, je jouis à mon tour en elle, bruyamment. Puis nous nous sommes enlacés et embrassés longuement. Puis elle me dit
    
    — Tu m’as manqué.
    
    Avant de s’endormir sur mon épaule… 
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