La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°952)
Datte: 13/09/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... plus respirer que par les narines .J'avais l'impression d'avoir la bouche grande ouverte . Je ne pouvais articuler un seul son, tout juste gémir .
Après lui avoir mis aussi un bandeau sur les yeux il mis une cagoule à Mélanie . Il me posa un bandeau également et m'enferma sous une cagoule aussi . Je la sentis se refermer sur moi . Avec ça sur la tête, il nous était impossible de voir quoi que ce soit , les sons nous parvenaient étouffés, atténués.
Bâillonnée, je me retrouvais seule, muette et presque sourde, cette cagoule se transformait en prison, m'enfermant dans l'obscurité ! Je sentais la panique venir . Tel un serpent, elle montait, s'enroulait autour de mon esprit . Je voulais crier mais ne le pus pas, je me secouais en tout sens . Walter me donna un violent coup de poing dans le ventre qui me coupa le souffle et me mit à genoux . Je tremblais de tous mes membres . Je ne comprenais pas pourquoi je devais être bâillonnée, pourquoi ces cagoules ?
Je sentis que Walter tirait sur ma ...
... laisse . Je me remis debout . Il me dirigea vers un endroit de la pièce et il me demanda de me retourner . Il ouvrit les mousquetons de mes bracelets pour les refermer aussitôt devant moi. II m'attacha les bras en l'air, le corps en extension et me laissa comme ça . Je l'entendis installer Mélanie sur la croix de St André non loin de moi, puis, plus rien, le silence !
J'avais mal aux mâchoires d'avoir la bouche continuellement ouverte . Je me demandais qui pouvaient bien être les amis du Marquis . Je me demandais si c'était les mêmes qu'à notre arrivée .
Si seulement j'arrivais à me rappeler quel jour on était !
Soudain des bruits étouffés me parvinrent au travers de la cagoule . Des voix, des rires de plusieurs personnes, approchaient . Je me tendais dans les liens qui enserraient mes mains . Je me mis à trembler et à suer en même temps . Je sentais les gouttes rouler sur ma peau, telles des perles de rosée, elles laissaient une trainée froide sur leur passage, je frissonnais …
(A suivre …)