Avec des amies comme ça… (27)
Datte: 13/09/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory
... tard, il me monte comme une jument en rut. Je suis devenue experte en tout ce qui concerne le sexe. Je sais sucer et me faire enculer comme une vraie traînée. Et croyez-moi, j’ai pris de l’expérience. En six mois ma bouche a vu passer un bon kilomètre de bite et j’ai avalé plus de sperme que je n’ai bu de lait. Je ne m’en lasse plus, j’ai même baisé mon cher papa, je l’ai bien pompé avant, il a adoré ça. Si vous me voyez au lycée ou dans la rue, n’hésitez pas à m’aborder. Mettez-moi la main au cul et dites que vous voulez me fourrer. Je suis tellement en chaleur, j’ai ma chatte de grosse salope tellement trempée que je n’attends que ça… "
Puis il y avait une quantité de photos et de vidéos où je me faisais humiliée et dégradée. Sur certaines, j’avais le mot salope écrit sur le front et du foutre plein la bouche. Je ne me reconnaissais pas, était-ce moi, cette fille qui n’avait plus aucune dignité ? Bien sûr, je savais que j’agissais comme une salope, ce n’était pas une nouveauté. Mais jusqu’à aujourd’hui, j’avais toujours pensé que c’était un cauchemar, une illusion, que tout ça n’était pas possible. Mais j’avais ces photos et ces vidéos en face de moi. Elles étaient objectives, ne cachaient rien de ce que j’avais fait, de mon avilissement. J’avais l’air d’être une pute, une salope. Comment avais-je pu me laisser manipuler par Hélène à ce point ? Pourquoi n’avais-je pas senti que j’avais affaire à une ...
... dégénérée, une sociopathe ? Comment ai-je pu penser qu’elle voulait être mon amie ? Pour elle, je n’étais juste qu’une nouvelle victime, un nouveau trophée à son tableau de chasse virtuel.
Mais il y avait une grande différence entre ses anciennes proies et moi. Moi j’étais vivante. Il n’y avait pas de photos de mon cadavre. À la place on lisait quelques commentaires impatients : "Quand est-ce que tu la crèves ?" "Cette salope faut lui faire passer l’envie de vivre ! " "Killeuse34 vient de fêter sa quatrième victime. Traîne pas, on compte sur toi." Il y avait aussi des conseils "Fait la baiser par des SDF ! Ça marche presque à tous les coups, elles ont tellement honte qu’elles se bousillent la semaine suivante."
Je n’arrivais pas à croire que ces gens existent. Que des salopards comme ça prennent leur pied sur l’humiliation et la mort de jeunes filles. Il n’y avait pas de mots assez forts pour traduire la rage que j’avais contre eux ; c’était des enculés, des cinglés, des ordures. Et j’étais leur cible. Il ne fallait pas que j’oublie ça, Hélène avait déjà tué cinq filles. C’était une tueuse en série, une experte dans son domaine, et j’étais son dernier jouet. Jamais je n’allais lui trouver de point faible. À bien y réfléchir, il était inutile d’attendre qu’elle trouve d’autres moyens de m’humilier pour que je me tue. Autant en finit le plus tôt possible, si elle voulait ma mort alors j’allais me suicider.