1. Marie-Laure


    Datte: 13/09/2019, Catégories: fh, couple, Oral pénétratio, fouetfesse, init, Collègues / Travail Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe

    ... que j’aille chez moi…
    — Ah oui, le chat…
    — Non, dit-elle en riant, ne vous inquiétez pas pour lui, il a tout ce qu’il lui faut, mais moi il faut que je me change, et puis je ne sais pas ce que vous comptez faire de moi, maintenant…
    — Oh, que c’est joli, cette confiance, je vous jure de tout tenter pour la mériter.
    — Merci, du fond du cœur, mais dans l’immédiat, il faut que je me soulage d’un petit besoin urgent, puis que je me lave, et puis j’ai faim…
    — Je vous fais les honneurs de ma salle de bain où vous trouverez toutes les commodités, ensuite je nous prépare le petit déjeuner. Café ou thé ?
    — Café, s’il vous plait.
    — Et après ma douche, je vous emmène chez vous.
    — Merci.
    
    J’apprécie qu’elle n’ait pas forcé le tutoiement. J’ai eu la nuit dernière la plus délicieuse des maîtresses, même si elle m’a troublé par son inexpérience évidente ou sa technique exotique, mais je ne suis pas prêt à convoler pour autant.
    
    Un peu plus tard, nous voici rendus chez elle. C’est un pavillon de taille moyenne entouré d’un petit jardin, dans un quartier calme de banlieue résidentielle. Elle m’explique qu’il s’agit de la maison familiale que ses parents disparus lui ont laissée et qu’elle a pu sauver de son divorce. Je fais la connaissance de son chat, assez sympa mais méfiant, qui s’empresse d’aller faire un tour.
    
    — Je vous demande de m’accorder une demi-heure pour me changer mais je ne sais trop quoi enfiler. Avez-vous des projets dans lesquels je figure ?
    — Vous ne faites ...
    ... pas de la figuration dans mes projets, Milo, vous en êtes la vedette !
    
    Éclat de rire général, puis :
    
    — Je n’ai qu’une envie, rester en votre compagnie. Pour le reste, faisons ce qui vous tente, nous promener en ville, ou à la campagne, au bord du lac, aller jouer au tennis mais depuis le temps que je n’ai pas frappé une balle, je crains de faire piètre figure…
    — Rassurez-vous, je ne sais pas y jouer. Les bords du lac me tentent bien.
    — Vendu. Je connais un petit caboulot, vers le fond près de St-Pardon, où nous pourrions déjeuner.
    — Ah oui, c’est là sans doute que vous emmenez toutes vos conquêtes.
    — …(Je souris sans répondre.)
    — Parfait. Je fais vite.
    
    Elle tient parole et réapparaît dans les temps, vêtue d’une chemise Lacoste orange, d’un pantalon blanc et de tennis blancs. Elle n’a plus son chignon de secrétaire mais ses beaux cheveux sombres sont tressés en une grosse natte, ce qui lui fait dix ans de moins. Je m’incline avec un sourire admiratif, son visage s’empourpre.
    
    — Vous ai-je dit que vous êtes ravissante ?
    — Pas que je me souvienne.
    — Il ne faut pas laisser passer de pareilles étourderies, comment me racheter ?
    — En m’embrassant tout de suite.
    — Vous allez me mettre du rouge.
    — Je vous nettoierai.
    — Avec la langue ?
    — Coquin ! Non, avec l’éponge à vaisselle !
    
    Donc je l’embrasse très tendrement et elle retourne se remettre du rouge.
    
    La journée a été idyllique. Il faisait beau, nous étions heureux, je la trouvais irrésistible, elle me ...
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