Session de rattrapage
Datte: 13/09/2019,
Catégories:
2couples,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
Auteur: Annialex, Source: Revebebe
... et immédiatement ; mais Vincent aime butiner mon corps, et quand la pointe de sa langue est venue s’insinuer dans ma toison, je n’ai pu m’empêcher de pousser un cri.
— Aujourd’hui tu démarres au quart de tour. Charles n’a pas cessé de te mater depuis que nous sommes arrivés. C’est lui qui t’a mise dans cet état ?
— Lui et toi : deux beaux mâles qui me désirent, c’est aussi irrésistible que les caresses les plus savantes.
— Viens sur moi, j’aime te voir m’aimer.
Je me suis plantée sur sa queue. Écrasée sur son pubis, j’avais l’impression qu’il remplissait tout mon corps, qu’il me transperçait jusqu’au cœur. Bien qu’il fût au fond de moi, dans la brume de mon plaisir je voyais son gland turgescent glisser dans mon vagin et buter sur ma matrice… une image qui me bouleversait.
— C’est ma queue que tu sens, ou celle de Charles ?
— Peu importe qui ça peut être… s’il est beau et viril.
— Un inconnu ?
— …
— Tu as peur de me répondre !
— Aujourd’hui, deux hommes me côtoient et me désirent, c’est nouveau et… exaltant. Un inconnu ferait aussi bien l’affaire, peut-être… mieux… mais aujourd’hui, il y a toi et Charles.
— Ensemble ?
— J’aimerais… doublement… plus même. Ne fais pas l’innocent, tu sais très bien que c’est un de mes fantasmes !
— Et si un jour je te fais cette surprise, moi et un bel inconnu ?
— …
Je ne pouvais plus parler. Mon sexe s’ouvrait et se fermait, entraîné par une pulsation magnétique qu’aucune force ne pouvait maîtriser, mais j’avais encore ...
... l’énergie d’imposer mon rythme à notre étreinte. Je voulais qu’il soit présent très longtemps en moi, je voulais rester propriétaire du plaisir que sa queue me prodiguait avant que je ne lui offre le spectacle de mon abandon.
J’étais face à la fenêtre et il m’a semblé voir une ombre passer rapidement devant les interstices du store vénitien que je n’avais pas totalement occultés. J’ai aussitôt pensé au jeune Serge, à coup sûr excité quand, nue face à lui, je n’avais pas fait mine de me retourner et de m’éclipser immédiatement. Et lorsque Vincent m’a caressé le minou, mon plaisir s’est manifesté si bruyamment que l’attention de ce comparse inattendu aurait pu être attirée. Par moments, j’avais réellement la sensation que nous étions observés. Il lui était facile, bien placé au coin de la fenêtre et sans qu’on le voie, de nous épier à travers les jours conservés pour éclairer la chambre. La brise dans les arbres qui faisait se mouvoir des ombres pouvait également donner faussement l’impression d’une présence, tant ma perception des contours et des apparences était incertaine. Je me suis persuadée qu’il était là et qu’il participait à notre plaisir. Mon excitation a été portée à son paroxysme. Je me suis cambrée le plus possible pour offrir la vue la plus indiscrète de notre étreinte, comme si je faisais le présent de mon corps. Jamais je n’avais imaginé prendre autant de plaisir à m’exhiber ainsi devant un regard étranger. Même si cette présence était née de mon imagination, ...