1. Session de rattrapage


    Datte: 13/09/2019, Catégories: 2couples, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, Auteur: Annialex, Source: Revebebe

    ... situation, ça viendra tout seul… sans qu’on s’en aperçoive.
    
    Elle-même portait une robe rouge aussi moulante que ma mienne, et avec un décolleté téméraire qui, lorsqu’elle se penchait, offrait à un observateur bien placé la vue de sa poitrine plus que généreuse et aussi dans l’échancrure dégagée par le poids de ses seins une perspective qui plongeait presque jusqu’à son pubis. Je lui ai retourné son compliment :
    
    — Toi-même tu es habillée en péché mortel, et tu ne portes aucun sous-vêtement. De quoi donner envie de baiser à tous les mecs que tu pourrais côtoyer, en particulier à Vincent.
    — Peut-être pas à tous mais à beaucoup, je m’en suis rendue compte très jeune ! Et je n’en suis pas de reste : dès que l’un me plaît, l’affaire est vite bouclée. L’avantage est que ça évite les approches ennuyeuses et convenues. Je suis plus physique que sentimentale, et j’aime arriver en ligne droite à la conclusion espérée. Et toi ?
    — Je n’ai pas une expérience comparable à la tienne en ce qui concerne les hommes
    — Depuis quand est-tu mariée ?
    — Un peu plus de quatre ans.
    — Et depuis, tu as baisé combien de fois avec d’autres ?
    — Charles a été le premier.
    — C’est à peine croyable… Il faut que tu rattrapes le temps perdu ! Je n’accompagne pas Charles en Afrique les premiers mois. J’en profiterai pour te faire connaître des lieux que toute femme un tant soit peu sensuelle apprécie à coup sûr ; en particulier, il y en a un que je connais bien et qui vaut vraiment le déplacement.
    — ...
    ... Je te fais confiance !
    — En ce qui concerne ma robe, je vais en mettre une autre pour aller chez le notaire. Avec celle-ci, il risquerait une apoplexie.
    
    Après cette discussion, je suis allée dans la salle de bain et j’ai enlevé mon slip. De retour dans le jardin, les grillades étaient prêtes. Charles, en grande discussion avec un jeune homme d’une vingtaine d’années, m’a expliqué :
    
    — Serge, le fils de nos voisins, m’a dépanné : j’avais prévu un peu court pour le charbon de bois. Et en plus il m’a prêté une grille.
    — C’est la moindre des choses de se rendre service, d’autant que je ne suis pas obligé de faire le grand tour par la route. Je suis assez souple pour me faufiler à travers la haie, a répliqué le nouveau venu.
    — Je te rendrai le sac de charbon de bois ce soir. Tu veux casser la croûte avec nous ?
    — Je te remercie ; ce serait avec plaisir, mais j’ai déjà déjeuné.
    
    Après que Serge eut tourné les talons, Agnès a apporté son grain de sel.
    
    — Dommage qu’il soit parti : ce garçon est à craquer !
    — Je le sais très bien, et je remarque que tu les apprécies de plus en plus jeunes ; il n’a sûrement guère plus de vingt ans, a rétorqué Charles.
    — Tu sais bien qu’à cet âge-là, on a déjà tout ce qu’il faut pour satisfaire les femmes – je pense à l’essentiel – et vingt ans, c’est l’âge des ardeurs… infatigables !
    
    Pour ma part, j’étais en plein accord avec Agnès. Ce garçon était très beau, et j’étais persuadée que ses pulsions de jeune adulte devaient apporter un ...
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