1. Session de rattrapage


    Datte: 13/09/2019, Catégories: 2couples, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, Auteur: Annialex, Source: Revebebe

    ... plaisais. Comment veux-tu que je n’aie pas été tenté de te voir faire l’amour, malgré la souffrance et la jalousie que ça pouvait me procurer ?
    — Je ne sais pas, je n’étais pas à ta place… mais je peux te comprendre.
    — Tu étais si belle, noyée dans ton plaisir… je n’ai jamais été traversé par une telle émotion. Et j’ai deviné que tu m’avais vu.
    — Je ne distinguais pas très bien, mais j’ai eu effectivement l’impression d’être observée, et ça ne pouvait être que toi. J’ai fantasmé à un tel point que ne parvenais plus à séparer ce que je souhaitais de ce que je supposais. J’étais dans un tel état d’excitation qu’il m’était difficile d’avoir les idées et la vue très claires. Je me suis complètement livrée à ce que je ne savais être une ombre ou toi-même, un fantasme ou la réalité que je souhaitais. J’ai ressenti alors combien il est excitant de s’exhiber devant un beau… un beau mâle, pas seulement de lui montrer mon corps, mais surtout de lui faire partager mon désir. Depuis, l’envie de faire l’amour avec toi ne m’a pas quittée.
    — Moi aussi, et quand on ressent ça, plus rien d’autre n’a d’importance. On est prêt à toutes les folies. Le désir fait rendre vraisemblables et possibles tous les excès…
    — Continue… tu n’as pas eu envie de te joindre à nous ?
    — Peut-être ; en d’autres circonstances avec un autre couple, sûrement.
    — Quelle différence ?
    — La différence, c’est toi. Ma seule envie était de me retrouver seul avec toi, comme maintenant, pour te connaître et t’aimer ...
    ... sans rien partager.
    — S’il s’était agi de Charles et Agnès…
    — C’est arrivé une fois. Mais toi…
    — Tu nous as regardés jusqu’à la fin ?
    — Oui, j’étais fasciné !
    — Jusqu’à la fin ou jusqu’à ta fin à toi ?
    — C’est pareil… Je n’ai pas eu besoin de me masturber… c’est venu tout seul.
    — J’aurais aimé être près de toi, te voir, te toucher…
    — Tu l’es, près de moi ; profitons-en, gavons nous l’un de l’autre.
    
    Je me suis couchée sur lui, mes seins écrasés coutre sa poitrine. Il m’a entourée de ses bras et s’est emparé de ma bouche. De mes mains, j’ai écarté les lèvres de mon sexe pour que sa hampe sur toute sa longueur soit au contact de ma vulve. Son gland écrasait mon clitoris. Je me suis masturbée contre lui. S’aidant de ses mains pressées sur mes fesses, il a accompagné mes mouvements. Il a soulevé son ventre le plus qu’il a pu pour accentuer la pression de nos deux sexes l’un contre l’autre. Je savais que nous pouvions jouir ainsi, mais je voulais le sentir tout entier en moi. Il m’a soufflé :
    
    — Jamais aucune femme n’a su m’aimer comme toi. Tu vis mon plaisir autant que le tien. J’ai envie d’une nuit entière avec toi.
    — Je te le promets… oui, une nuit entière.
    — Pour avoir le temps… pour qu’on jouisse ensemble plusieurs fois, sans être pressé… de toutes les façons possibles, que nous nous aimions après nous être aimés.
    — Maintenant, c’est moi qui commande… je sais ce que tu veux. Si je continue à bouger, à masser ta queue… tu vas éjaculer, je le sens… mais comme toi, ...
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