1. Session de rattrapage


    Datte: 13/09/2019, Catégories: 2couples, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, Auteur: Annialex, Source: Revebebe

    ... Vincent prodiguer une telle jouissance à une autre femme ; il me semblait que jamais il n’avait été aussi long, aussi massif et aussi rigide.
    
    Charles m’a murmuré :
    
    — Rien n’est plus beau qu’une femme et un homme qui s’aiment. As-tu déjà vu une telle merveille ?
    — C’est la première fois. Non seulement c’est beau, mais ça rentre dans mon corps comme une braise, ça me retourne, ça me bouleverse. Ce sont des images devant lesquelles aucune femme ne peut être insensible. Moi aussi, j’ai envie que ta queue me remplisse…
    
    Avant que Charles ne me prenne dans ses bras pour m’emmener dans l’autre chambre, j’ai vu Vincent pénétrer sauvagement Agnès. J’étais sur le point de jouir et il aurait suffi que Charles continue à me caresser pour que la vue de l’étreinte d’Agnès et Vincent me plonge dans un orgasme irrépressible.
    
    Il m’a allongée sur le lit, et tout de suite, couché sur moi il m’a embrassée tendrement. Sa langue était habile, ses baisers étaient doux. Son sexe écrasé sur mon ventre était dur.
    
    Il m’a regardée avec passion et m’a dit :
    
    — Depuis une semaine, j’attends ce moment. Depuis longtemps je voulais te séduire, mais c’est toi qui as gagné. Ton corps et ta façon de te faire aimer m’ont ensorcelé.
    — C’est parce que j’ai envie de toi… et que tu l’as senti. Pense au moment présent, donne-moi le plaisir que j’attends !
    
    J’ai pris sa tête dans mes deux mains et je l’ai dirigée vers mes seins. Ses lèvres ont cajolé mes mamelons, les pinçant, les aspirant, les ...
    ... faisant s’ériger et durcir encore plus. Il a continué à descendre sur mon corps, a frôlé mon ventre. Puis j’ai senti son souffle sur ma toison et sa langue s’y frayer un chemin pour venir découvrir la saveur de mon désir, la douceur de ma chair et l’impatience de mon clitoris. J’ai poussé un cri. Je savais que Vincent pouvait l’entendre. Sachant aussi qu’une telle saillie de mon plaisir ne pouvait que l’exciter davantage et contribuer au sien, j’ai laissé mes émotions se manifester bruyamment, sans retenue. Charles m’a soufflé :
    
    — Tu aimes ?
    — J’aime tout !
    — C’est quoi, tout ?
    — C’est surtout ta queue !
    
    Il s’est agenouillé entre mes jambes, son phallus tendu comme un arc, presque vertical. Il s’est penché jusqu’à ce que son gland vienne à travers mes poils caresser ma vulve. Il a saisi son pénis et le faisant frotter de haut en bas, ouvrant largement les lèvres de mon sexe, m’a arraché des larmes. Il s’est attardé sur mon clitoris, le stimulant par petits massages circulaires que je recevais comme des décharges électriques, faisant sursauter mon bassin. Lorsque j’ai senti dans mon ventre s’épanouir les premières ondes d’un plaisir intense, j’ai écarté les cuisses le plus possible pour m’offrir toute entière à son désir.
    
    À chaque frôlement de son gland sur l’ouverture de mon vagin, mon corps se cambrait pour demander plus de profondeur à ses caresses. J’avais un besoin primaire d’être pénétrée sauvagement. Mais Charles savait qu’il devait attendre avant de s’investir ...
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