Ballade texane
Datte: 13/09/2019,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
jeunes,
Inceste / Tabou
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
policier,
aventure,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... J’en étais sûr !
Du coup, pour nous, reste juste une douanière, assez mignonne d’ailleurs dans son bel uniforme. Plutôt grande, type latino, longs cheveux bruns, contrairement à d’autres, elle porte bien le pantalon grâce à ses hanches fines de petit garçon. Comme ses collègues, elle ne porte pas de veste et sa chemise de coton révèle des formes intéressantes.
— Papiers s’il vous plaît.
Tout en examinant nos passeports, elle demande :
— La raison de votre passage… ?
— Vacances, Mademoiselle, tourisme…
— OK, et vous avez quelque chose à déclarer ?
Je réponds d’une voix neutre :
— Non, rien de spécial.
La jolie douanière rive son regard dans le mien, soulève un sourcil interrogateur.
Je reprends en souriant :
— Non rien,… à part un petit million sous les jupes de la petite, dis-je en désignant l’arrière de la voiture d’un coup de tête.
La douanière sourit, se penche par ma fenêtre ouverte et détaille Louise, sagement assise, les mains sur ses cuisses largement exposées vu la longueur minimaliste de sa jupe.
— Un million sous cette jupe, il faudrait des coupures de dix mille dollars, lâche la fonctionnaire en souriant. Et encore ! Plutôt des coupures de cent mille, et pas trop grandes !
Elle capte mon regard qui s’est aventuré dans l’échancrure de son chemisier, un chemisier qui n’est pas réglementairement boutonné, loin s’en faut ! L’échancrure vertigineuse dévoile des rondeurs très appétissantes, enchâssées dans un délicieux ...
... soutien-gorge en fines dentelles couleur chair.
Secouant légèrement la tête devant mon effronterie désinvolte et mon air gourmand, elle ajoute en souriant :
— Vous m’ouvrez le coffre ?
— J’arrive.
Je coupe le moteur, je descends et me dirige en boitant bas vers l’arrière en expliquant :
— La commande intérieure ne fonctionne plus, faut que j’ouvre avec la clé.
Mon putain de pied bot m’a pourri la vie pendant vingt ans, mais depuis huit jours, c’est une vraie bénédiction. La douanière me regarde avec commisération et sympathie. Elle farfouille vaguement dans le coffre, soulève une valise ou deux, elle a l’air prête à s’en tenir là quand elle me lance un regard amusé. Et voila qu’elle me désigne une valise brune.
— Vous l’ouvrez s’il vous plait ?
Putain, il y a dix valises dans le coffre, et elle tombe sur la bonne du premier coup !
J’ouvre le couvercle, en priant qu’elle ne remarque pas ma nervosité.
Du bout de son stylo, la jeune femme soulève les strings, chemisiers et jupes de Louise entassés.
Comme nous sommes penchés tout les deux, j’ai le réflexe de plonger à nouveau mon regard dans son chemisier.
Et je crois bien que c’est ce qui me sauve. Un type assez tranquille qui mate effrontément les seins de la douanière qui fouille ses valises ne peut rien avoir à se reprocher ! La jeune femme continue à soulever les petits linges, mais sans regarder ce qu’elle fait, son regard s’est fixé sur moi alors qu’elle se penche toujours plus. Du coup, le chemisier ...