Anne devient soumise
Datte: 12/09/2019,
Catégories:
fhh,
hagé,
extraoffre,
cocus,
inconnu,
médical,
sales,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
vidéox,
BDSM / Fétichisme
entreseins,
facial,
Oral
pénétratio,
double,
fsodo,
Partouze / Groupe
fsoumisah,
Auteur: Anne22, Source: Revebebe
... très pompette ; ça va expliquer la suite…
Le type me regarde vraiment, me détaille – visage, poitrine – me scrute. Il laisse tomber sa serviette, la ramasse : il veut voir mes cuisses sous la table. Je serre les jambes, me sachant sans culotte. Le repas se passe assez vite. Ils sont pressés ; manifestement, une idée en tête.
Là, Alain prend directement le chemin d’un endroit où l’on va de temps en temps, vers le bois de Meudon. Jean-Paul est assis à l’arrière ; je suis devant. Alain déclare :
— Chérie, tu devrais te mettre à l’aise, tu sais, comme nous faisons…
Je le regarde, surprise ; mais tout en conduisant, il déboutonne le haut de ma robe, fait sortir mes seins qu’il caresse de la main droite ; il sait bien faire.
— Continue, Anne, ouvre-la. Ça ne te gêne pas, Jean-Paul ? En général après le resto, Anne aime bien faire une exhibe. Penche ton siège, chérie ; allons, Jean-Paul en a vu d’autres…
Je suis surprise, un peu dans les nuages ; je fais ce qu’il demande.
Je suis robe ouverte, nue, le siège en position couchette. À sa demande, je ne tarde pas et mets les deux pieds sur le tableau de bord, cuisses grandes ouvertes, chatte bien visible. Jean-Paul ne bronche pas. Pas un mot, limite indifférent. Là, un petit camion de chantier, plateau bas. Alain, double, ralentit, redouble ; forcément, le chauffeur me voit. Alain allume le plafonnier, éteint ; plus de doute pour le camion : appels de phares. Ils suivent…
Ils sont trois dans le camion. On ...
... s’arrête, coin reculé. Les types descendent du camion, des ouvriers de chantier encore en tenue, entre 55 et 60 ans, et… trois Blacks ! Me voyant robe ouverte, toute nue, ils savent déjà qu’ils vont se régaler ; l’endroit est connu. Ils se placent de mon côté, sortent leur bite. L’un est assez élancé, les deux autres petits et gros, queues courtes, épaisses.
— Monsieur, Monsieur, c’est une salope ? On peut toucher ?
Alain fait non de la tête et répond :
— Mais elle va tout vous montrer, t’inquiète.
Il me place la tête sur ses genoux. J’offre aux regards des Blacks ma chatte, tout mon corps, ouverte. En fait, je suis sur le dos, orientée vers eux. Alain me caresse partout, me branle, m’excite ; je mouille beaucoup, je ruisselle même, très excitée. Alain retire ma robe et la tend à Jean-Paul qui la met sur le siège arrière. Je suis entièrement nue. L’alcool, aidant, je me laisse aller… Je me retourne vers mon mari, offrant mon cul aux mateurs ; ils se branlent comme des fous !
— Monsieur, s’il te plaît, on peut toucher ? Baisse ta vitre, elle est trop bonne : quelle salope ! On peut la baiser ? Non ?
Excitée au plus haut point, je me tourne, je m’écarte, je me montre. Là, Jean-Paul commence à me caresser aussi. Je tressaille. Alain me dit :
— Allons, Anne, Jean-Paul est mon ami. Laisse-toi bien faire, ma chérie ; je suis d’accord.
Jean-Paul me ramène en position couchette ; je suis donc à côté de lui, allongée. Les Blacks matent, se branlent. Il me caresse ...