Anne devient soumise - Histoires de Sexe

Anne devient soumise

... dans mon sexe, deux doigts entourés d’un papier spécial gynéco glissant (en général, les femmes médecins utilisent ce système plus précis, car il implique un contact plus intime que le gant, on sent très bien les doigts). Il me fouille gaillardement, écarte ma chatte, la pétrit littéralement comme une moule. En fait, il en profite et caresse inconsidérément mon clito. Je bouge, je supporte très mal.

— Allons, jeune fille, voulez-vous bien me laisser faire, oui ou non ? Cette visite doit être complète ; je suis responsable. Alain, aidez-moi, dites-lui.
— Ma chérie, laisse-le tout faire ; le docteur a tout pouvoir, ne pense à rien.

Donc je me laisse faire… Il me fouille, me re-pelote abondamment tout le corps. Je sens ses deux mains boudinées sur mes seins ; il ne fait plus semblant maintenant (mon mari a donné son feu vert) et palpe mes cuisses de bas en haut, toujours à deux mains, remonte, frôle, caresse le pubis, glisse ses doigts sur ma fente, etc. Il passe derrière moi et pétrit mes fesses en les écartant pour « tester les muscles ».

— Bien. Maintenant, il est important que je voie si rien n’existe ailleurs.

Il me reprend, toujours en me tenant bien dans ses bras, me fait monter sur une table et retire le bandeau. Je suis à quatre pattes sur la table, le visage vers le bas ; je ne le vois pas. Il flatte mon dos avec volupté, la colonne vertébrale, les fesses, d’une main puis de l’autre, paisiblement, comme on flatte une jument, passe sa main entre mes ...

... fesses, et hop ! introduit deux doigts gantés (comme tout à l’heure) dans mon petit trou. Il cherche, me maintenant la tête de sa main gauche. Cela dure au moins cinq minutes, facile. Durant ce temps il continue à me caresser de la nuque aux reins.

Il est très à l’aise avec mon corps, on le sent. Tout à fait tranquille et possédant.

— Bien, bien… Décidément, Alain, quelle belle femme vous avez ! Très saine, vraiment. Finalement facile à examiner, et si docile… Encore un petit exercice et ce sera fini. C’est un test de souplesse. Si vous ne pouvez pas, c’est que vous avez un problème de reins ; je devrai le signaler. Vous allez faire tout ce que je vous demande, jeune fille, sans réfléchir, le plus vite possible. Allez vous accroupir au milieu de la pièce. Allez, vite ! Accroupie, jambes bien ouvertes, écartées. Allez ! Tendez les bras droit devant vous. Croisez-les sur la tête maintenant. Couchez-vous sur le dos. Vos mains derrière la tête ! Gonflez votre poitrine. Respirez fort. Écartez les jambes au maximum, grand. Plus ! Encore ! Encore ! Allons, entièrement ouvertes. Votre sexe doit s’ouvrir, c’est indispensable. Attrapez vos pieds avec vos mains. Restez comme ça un moment, au moins cinq minutes, grande ouverte ; avec cette position, vous me prouvez votre résistance.

Bien sûr, je tiens la pause ; je crois comprendre, mais je ne veux pas le contrarier pour son rapport…

— Bien, bien, c’est absolument magnifique ! Rien à dire ; relevez-vous. Revenez à moi, jeune ...