1. Le professeur


    Datte: 10/09/2019, Catégories: fh, fdanus, fsodo, init, initfh, Auteur: zobmaster, Source: Revebebe

    ... la direction des opérations. Je téléphone à Juliette. Je lui donne quelques compléments d’information et lui dit que le mieux serait de se rencontrer. Alors, et alors seulement, elle saura si elle veut aller plus loin.
    
    Juliette ne perd pas de temps et me demande si je serais libre tout de suite. Nous convenons de nous retrouver dans un bar à mi-chemin de nos habitations respectives.
    
    Juliette est charmante, non ce n’est pas le mot qui convient. Elle a du chien, du « sex-appeal », pour tout dire elle m’excite. Je m’aperçois rapidement que je ne dois pas non plus la laisser indifférente.
    
    Nous discutons longuement, elle pose des myriades de questions. J’invente, j’improvise ou je me sers de ma très récente expérience avec Clara.
    
    Elle est d’accord avec le prix très élevé que je demande, d’accord avec tout.
    
    Elle sera la deuxième élève de mon cours de sodomie si particulier. Elle aussi apprécie l’aura mystique que je donne à tout cela.
    
    Juliette aussi aura droit à son bijou.
    
    Elle me rappelle quelques temps plus tard. Elle est ravie, sa vie de couple a pris un nouveau départ, « grâce à moi » m’assure-t-elle. En fait, comme Clara, Juliette a des amies dans l’embarras… C’est ainsi que mes cours particuliers de sodomie ont démarrés sur les chapeaux de roue.
    
    Les choses vont un peu mieux avec ma femme, évidemment, je ne suis plus frustré. Elle aussi va mieux dirait-on, que fait-elle pour ça ?
    
    Je ne goûterai sans doute jamais aux joies du sexe anal avec ma femme, ...
    ... je ne cueillerai jamais le pucelage anal de ma femme et cela m’attriste. Mais je me fais une raison.
    
    Un jour, une de mes élèves m’apprend que pendant qu’elle se fait initier par mes soins aux plaisirs interdits, son mari se fait initier par un « Grand Maître » femme.
    
    Elle me demande si je la connais. Je bredouille :
    
    — Sûrement, tous les membres de la société se connaissent. Mais ton mari, que fait-il entre ses mains ?
    — J’aime autant qu’une femme autre que moi lui apprenne tout ce qu’il doit savoir : la délicatesse de certains gestes, la manière de s’y prendre, enfin tout. Il ne s’agirait pas qu’il « salope le boulot » et que je n’éprouve aucun plaisir ou que, pire, il me fasse mal.
    — C’est certain ! C’est bien pour cela que nous avons aussi des Grandes Prêtresses.
    
    Je ne sais plus que penser, qu’est-ce que c’est que ça ? Cette femme prêtresse n’est pas vraiment une concurrente, mais comment a-t-elle eu vent de mes activités pour les copier ?
    
    Le succès de mon entreprise ne se démentant pas et comme je n’ai plus entendu parler de cette « concurrente », j’oublie l’incident.
    
    Enfin Marc rentre.
    
    Je le vois quelques jours après son retour. Nous bavardons depuis un moment déjà lorsque la conversation aborde le sujet délicat :
    
    — Paul ! Mon vieil ami ! Je ne te remercierai jamais assez de ce que tu as fait pour moi. Pour Clara et moi plus exactement.
    
    Moi, gêné :
    
    — Ce n’est rien, vraiment.
    — Écoute, Paul, tu as réussi au-delà de ce que j’espérais. Je ne ...