1. Accueil des déshérités 7


    Datte: 10/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Accent, Source: Hds

    ... donc la chance d’être servie par deux sexes. La main d’Henri accompagne la tête qui régale sa bite, la queue de Robert cogne dans le vagin et fait balancer le corps de femme entre les deux hommes. Je les excite. Lili doit oublier ses craintes. Je veux qu’elle vive une belle fête.
    
    - Robert, sers-toi de tes mains pour caresser les seins. Faut-il tout vous dire ?
    
    Henri à midi, Robert il y a peu, ces deux séducteurs ont déjà versé leur contribution en sperme. Une fois de plus ou une fois de moins, quand le pas est franchi le nombre est sans importance. A mes yeux le désordre date du premier faux pas, du premier baiser suivi de la première baise. Après le franchissement de la frontière, la glace est rompue, c’est marche ou crève. Quand je les vois approcher de la deuxième éjaculation, quand leur visage rougit, quand leurs traits durcissent, quand ils perdent leur souffle, je fais changer le dispositif. Lili debout attend que son patron fasse avancer son cul à ras du siège.
    
    - Installe-toi sur ce bel essieu. Monte et descend, donne lui du plaisir, fais « hue coco ». Prends ton allure de croisière et attends gentiment l’éjaculation. Va, sois heureuse, c’est le début de ton ascension, de ta vie de princesse putassière.
    
    Je fais briller les avantages promis par son baiseur et je joins un vocable qui traduit mon mépris pour ses choix. C’est un mélange confus de vœux de bonheur et de condamnation. Mon cœur et ma tête se livrent une bataille, bons sentiments contre dépit ...
    ... amoureux. Mon cœur tape : Tu l’aimes. Ma tête se désole : elle est perdue pour toi. Je me souviens d’une belle amoureuse, je vois une catin.
    
    Le manche patronal sert d’axe vertical, cela me rappelle le déplacement des chevaux de bois des manèges le long de la tige brillante. Lili est de moins en moins gênée, plus attentive à garder dans son sexe celui de son nouvel amant. Devant moi elle baise sans vergogne. J’organise les festivités, j’enterre ma vie de couple :
    
    - Robert approche, suce ton index, pose-le sur sa rose. Je tire sur les fesses, introduis ton doigt dans le petit trou.
    
    - Oh ! Il va me faire mal.
    
    - Non, il est doux. Tu reçois la première phalange. C’est passé. Tu supportes ? Comme toutes les femmes normalement constituées. On peut continuer le touillage du troufignon, le passage est ouvert. Vas-y encore, pousse. C’est bien. Mais il faut bouger en rond et en profondeur, comme tu as fait dans le vagin, remue lentement. Regarde-moi maintenant.
    
    Je lui montre deux doigts collés, je les prends en bouche puis je montre la direction de la rose. Robert comprend, envoie l’index et le majeur lubrifiés dans le cul de Lili et fouette le sphincter. Elle râle quelques secondes puis s’efforce de faciliter cette pénétration et elle tend ses fesses.
    
    - Sors. Il y a mieux à faire, encule la.
    
    Lili continue sa chevauchée sur Henri. Je mets la main sur le membre de Robert et désigne la cible que ses doigts ont quittée.
    
    - Oui, vas-y. C’est ton cadeau d’adieu. Prends-lui ...
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