Accueil des déshérités 7
Datte: 10/09/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Accent, Source: Hds
... inégalable. Je m’en porte garant. Espèce de salaud, tu es dans la mouise. Tu vas douiller, il ne fallait pas te jeter sur ma poule Lili, soudain devenue Marie secrétaire de direction : Tu fais fort pour t’envoyer un petit cul. Tu sais y mettre le prix. Ton fric a acheté ma femme, salaud.
- Elle n’est plus à mon service. Je ne côtoie pas les putains, je ne les embauche pas. Je la vire.
- Ho ! Là. Tu préfères te payer les femmes des autres plutôt que la tienne. Baisse le ton, Henri. Présente des excuses à Marie. Elle est putain de ton fait. Tu l’as achetée, tu la paies par une promotion pour l’avoir sous la main quand tu as des érections incontrôlables: tu la rends vénale, tu es le pourrisseur. Tu es à blâmer en premier.
Lili encore essoufflée par la charge vigoureuse de Robert intervient :
- Voilà ce que tu as gagné André. Tu l’as cherché, tu as trouvé. Mais je m’en moque, je t’aime et je me trouverai un autre travail. Et toi, Henri, tu vas payer tes insultes. Excuse-toi, harceleur de jeunes femmes.
- Jamais.
Je m’adoucis en apparence :
- Tu peux t’en aller, Henri. Ta femme va recevoir une première série d’images pieuses. Je suis sûr qu’elle appréciera.
- Je vous poursuivrai pour chantage.
- Allons au tribunal. Je te poursuivrai pour harcèlement sexuel sur ma compagne, avec toute la publicité nécessaire pour les promotions canapé. Tes salariés admireront tes fesses et tes couilles, pépère.
- Bon, combien voulez-vous ?
- De trois à cinq ans ou ...
... des grèves ?
- J’achète vos photos. Combien ?
- Elles ne sont pas à vendre, mais à publier. Tu vas faire le buzz sur internet. A poil tu es photogénique, tu es bien monté et ta Marie domestique s’enorgueillira d’avoir un pareil mari. Ses amies la jalouseront. Ma collection n’a pas de prix, cher Henri.
Pendant l‘échange d‘amabilités, Robert vient d’envoyer Lili au septième ciel dans un concert violent de cris de bonheur. Il a voulu mettre à profit notre discussion pour tirer avantage de sa position privilégiée. Nous étions deux coqs à disputer, à chinoiser. Robert, esprit pratique a bourré, fourré, tringlé, peu intéressé par mes précédentes considérations sur l’état d’un vagin trop utilisé. Il n’a pas voulu gaspiller sa dernière chance, il a sabré, sauté, foutu à tout va. Il nourrit l’espoir de conquérir ma femme, de me la ravir en faisant preuve de virilité, nonobstant une possible dénonciation illustrée de photos. L’orgasme de Lili est éloquent. Henri n’en croit pas ses oreilles. Il a fait moins bien ce midi. L’argent ne remplace pas tout. Il a plus de fric mais Robert est plus jeune et plus vaillant au déduit.
- Que voulez-vous, à la fin ? Pas d’euros ? Quoi ? Parlez.
Je m’adresse aux accouplés :
- Faites une pause et asseyez- vous. Toi aussi Henri, là dans ce fauteuil. Veux-tu boire une coupe, j’ai mis du champagne au frais. Lili veux-tu amener les coupes ?
- Laisse-moi le temps d’enfiler une robe d’hôtesse et je sers le champagne.
- Non, tu es très ...