1. Accueil des déshérités 7


    Datte: 10/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Accent, Source: Hds

    ... ensemble une ou deux fois par semaine.
    
    - Et tu me donnerais la permission de me masturber les autres jours ? Je regrette, ce programme ne me convient pas. Je te quitte.
    
    - Pourquoi alors avoir imposé ces conditions ? Pourquoi ensuite te défaire de tes moyens de pression et pourquoi me les remettre ?
    
    - Parce que j’ai vu avec quel enthousiasme tu acceptais les propositions de ton patron. Parce que tout est foutu entre nous.
    
    - Ne cherche pas davantage. Avoue, c’est parce que tu es fou de jalousie et surtout parce que tu espères.
    
    - Que pourrais-je encore espérer ?
    
    - Tu me remets à l’épreuve, tu me donnes une nouvelle possibilité d’exercer ma liberté. J’ai compris. Noue ma ceinture et suis moi, rejoignons Henri.
    
    Arrivée au salon elle réclame l’attention de ses deux derniers amants :
    
    - Voilà, Si André me pardonne mes erreurs des dernières quarante-huit heures, ce sont les seules dont il puisse se plaindre, s’il tient compte de ma volonté d’obéir à ses désirs que j‘avais mal interprétés, je jure de n’aimer jamais que lui. Henri prenez ces photographies et faites-en ce que bon vous semble. Je renonce à ma promotion et à ses avantages. Je vous serai reconnaissante de me laisser travailler à mon poste. Grondez Louis, la leçon lui suffira. Je vous remercie…Je vous raccompagne à la porte, je vous fais la bise.
    
    Henri est pensif.
    
    - Venez me voir à mon bureau lundi matin.
    
    - Mais André, où vas-tu ?
    
    - C’est l’heure d’ouverture du resto du sexe.
    
    - . A ...
    ... propos, hier soir tu n’as rien vu, tu n’es pas venu là-bas, tu ne m’as pas photographiée en train de me faire prendre.
    
    - Comment peux-tu l’affirmer ?
    
    - C’est simple. Un je t’aurais immédiatement identifié. Deux, j’ai vu des traces de tes chaussures, ici, dans le couloir à hauteur de la porte de ton bureau et j‘ai su que tu m‘espionnais. Trois j’ai raconté une histoire à Robert. Il voulait en effet que je participe. J’ai exigé qu’il sorte et j’ai fermé à clé les deux portes du fond, il n’a rien vu et il a gobé mon récit des trois mousquetaires dont l’un à grande queue m’aurait meurtri le vagin. Tu as répété mon histoire imaginaire et du coup j’ai eu la certitude que tu bluffais, je te l’ai dit, souviens-toi. Ma fable m’a permis de renvoyer à plus tard l’épreuve de l’accouplement réclamé par Robert.
    
    - Mais pourquoi Louis et Henri ?
    
    - Ton break a brisé la résistance que je leur opposais depuis des années. J’ai décidé de faire tomber la pression en profitant de la liberté que tu m’avais accordée. Je reconnais des moments de faiblesse. Mais si tu restes avec moi, je serai forte.
    
    - Tu serais partie avec Henri si je ne m’étais pas montré ?
    
    - Oui, tu me manquais trop, j’aurais fait n’importe quoi pour étouffer la douleur.
    
    - J’ai eu chaud ! Bon on y va ?
    
    - J’y vais sans toi. Il y a trop d’hommes par rapport au nombre de femmes. Je te promets d’être sage, tu n’es pas obligé de venir me surveiller.
    
    - Et Robert ?
    
    - Il n’y reviendra plus, il l’a juré et il craint ...
«12...891011»