François découvre l'amour
Datte: 10/09/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
copains,
vacances,
forêt,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
init,
inithf,
Auteur: Maelys, Source: Revebebe
... détendre un peu et d’éviter que mon t-shirt jaune, mon short et mes sous-vêtements noirs ne soient trempés de sueur.
J’obliquai à droite pour emprunter le chemin vers la clairière qui devait être le lieu de nos futurs ébats. Quelques minutes plus tard, j’atteignis la clairière. Je trouvai un arbre auquel m’adosser et entrepris de lire, sous son ombre, quelques pages, histoire d’attendre la venue de François.
Malgré la beauté du texte de Coelho : « Veronika décide de mourir », je n’arrivai pas à me concentrer et je dus relire plusieurs fois la même page sans toutefois parvenir à faire le lien avec ce que j’avais lu précédemment. Je passais en fait mon temps à jeter un œil par-dessus mon livre de crainte de manquer l’arrivée de François.
Un quart d’heure plus tard, François arriva enfin dans une tenue différente de celle dans laquelle je l’avais vu au bloc sanitaire du camping. Quand il s’approcha, je sentis émaner de son corps l’odeur de gel douche. Un bon point pour lui : il avait compris que pour mettre à l’aise une femme, il valait mieux être propre sur soi.
Je rangeai mon livre dans mon petit sac à dos. Dans le même temps, il vint s’asseoir à mes côtés et posa directement sa main droite sur mon sein gauche. Je lui retirai expressément la main de mon t-shirt, à la fois offusquée de tant de brusquerie et flattée de déclencher une telle envie chez lui.
— Bas les pattes ! Si tu veux juste trouver un vagin pour faire pénétrer ta verge, trouve-toi quelqu’un ...
... d’autre. Et puis, je te signale que l’on peut nous voir du chemin : si tu veux me voir nue, il va falloir qu’on trouve un endroit plus discret.
Le voilà mortifié : il avait compris qu’il avait fait une gaffe. Il allait falloir tout lui apprendre, à ce grand nigaud. Je le pris par la main, nous nous levâmes et je l’emmenai 200 m plus loin, dans un bosquet réunissant les conditions de discrétion nécessaires à nos ébats et étendis mon drap de bain au sol.
Refroidi par mon attitude, le voilà assis à côté de moi sans oser rien faire. Je le pris par la nuque, rapprocha son visage du mien et lui plaqua ma bouche contre la sienne. Il se détendit peu à peu, sa langue s’introduisit dans ma bouche et un long baiser commença. Je sentis son corps se décontracter mais il n’osait rien de plus.
— Ta main sur ma nuque. Oui, comme ça ! Pelote-moi les seins maintenant.
Ses mains trahirent sa gourmandise et, d’une manière empressée, il empoigna mes globes qui étaient durcis par l’attente de ce moment.
— Dégrafe mon soutif, il est temps… lui murmurai-je à l’oreille.
Il n’avait jamais retiré de soutien-gorge de sa vie et je le sentis contracté par la peur de ne pas y arriver.
— Tire sur les deux morceaux, comme si tu voulais le resserrer.
Il parvint enfin à le dégrafer, souleva mon t-shirt et les bonnets de mon soutien-gorge et entreprit de me titiller les tétons, bien entendu déjà dressés.
— Non, c’est trop tôt, lèche et suce d’abord.
Il me les aspira divinement. Enfin, un ...