Histoire de Léa
Datte: 10/09/2019,
Catégories:
ff,
hh,
fhh,
fbi,
couleurs,
asie,
fépilée,
rasage,
Oral
69,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
hsodo,
initiatiq,
Auteur: Artemis, Source: Revebebe
... la chaise libre à ma table :
— Vous permettez ?
Moi, pensant qu’il voulait prendre la chaise libre :
— Pas de problème.
Et là, surprise ! Il s’assit à ma table et me demanda si je prenais la même chose. Je me tournai alors vers lui pour expliquer le quiproquo et, d’un coup, je dois dire que j’ai flashé. Il était grand, dans les un mètre quatre-vingt-cinq , noir comme le charbon, les cheveux blonds, et les yeux verts.
Je fis celle qui n’a pas l’air intéressé :
— J’allais partir mais bon, je prendrai un demi.
Il se présenta alors. Il s’appelait Nicolas, il avait vingt-sept ans et finissait ses études de médecine, ici, à Montpellier. Il était originaire de Guadeloupe et devait avoir des ancêtres bretons d’où la couleur des ses yeux et de ses cheveux.
Je me présentai également à lui et rapidement je lui proposai d’adopter le tutoiement qui est quand même plus cool.
— Tu fais quoi ce soir ? me demanda-t-il.
— Rien de spécial, je pensais me balader dans la ville pour écouter les différents groupes.
— Eh bien, commence par le nôtre. On a monté un groupe antillais pour la circonstance et on joue vers neuf heures ; à dix heures, on devrait avoir fini et, si tu veux, on pourra aller manger un morceau et se balader ensemble après.
J’acceptai son plan sans montrer mon enthousiasme et je lui dis que je le retrouverai vers dix heures devant son estrade.
Je me précipitai chez moi pour me préparer et là ce fut l’angoisse : comment fallait-il m’habiller ...
... ?
J’ai bien dû passer une heure à mettre et enlever plusieurs tenues et, pour finir, je me suis dit qu’il fallait faire simple pour pouvoir être à l’aise si on devait danser.
J’optai donc pour un string, une jupe short, un teeshirt, pas de sous-tif, mes seins défiant encore la pesanteur, et des ballerines.
À neuf heures pétantes, j’étais mélangée à la foule qui commençait à s’accumuler devant l’estrade et pendant une heure, j’écoutais les rythmes endiablés de la musique des îles.
Je ne quittai pas Nico des yeux et je commençai à me faire des plans dans la tête.
À dix heures, quand le groupe céda la place, Nico qui m’avait repérée dans la foule, se dirigea vers moi ; il était accompagné d’un copain qui, lui aussi, était antillais.
— Salut, je te présente Laurent, un ami du groupe qui fait ses études avec moi.
Nous nous fîmes la bise et tous les trois, nous nous sommes dirigés vers un resto sympa qui servait des paellas et de la sangria.
Une heure après, et quatre ou cinq sangrias plus tard, nous étions dans les rues et nous passions d’un groupe à l’autre en dansant tous les trois, ensemble.
À un moment, pendant un slow, Nico me pris dans ses bras et commença à m’embrasser et, sans l’ombre d’une hésitation, je répondis à son baiser.
Un peu plus tard, lors d’un autre slow, c’est Laurent qui m’invita à danser et il se colla à moi, ce qui me permit de me rendre compte qu’il bandait comme un cerf. Je me sentis un peu gênée mais je ne refusai pas le ...