1. ce coquin de propriétaire ! (22)


    Datte: 09/09/2019, Catégories: Divers, Auteur: petitesyl, Source: Xstory

    Marc était à peine parti qu’Hector était entré en moi. Il s’agitait comme un chien en rut qui s’excite sur sa femelle, il hurlait en même temps un mélange d’injures et de bruits de bûcheron à la besogne.
    
    — Han ! T’aimes ça, hein salope...
    
    Et il cognait son bassin contre le mien tout en restant amarré à mon corps par son harpon bien implanté en moi.
    
    — Han ! Comme t’es bonne...
    
    Brutal, sans ménagement, il continuait ses coups de boutoirs.
    
    — Une chatte qui demande son foutre...Han !
    
    Il hurlait, cela n’en finissait pas.
    
    — Ouais, trop bon, tu la sens ? Han !
    
    Pour la sentir, je la sentais.
    
    — Han ! Je vais venir...Han...Ouais !...Je vais venir...
    
    — Eh bien ! Viens, que cela finisse...pensais-je sans oser le dire.
    
    — Je vais...Ohhh, je viens !
    
    Mon sexe pouvait sentir les jets qui l’inondaient...Il n’en finissait plus de se vider, il n’en finissait plus de me remplir.
    
    J’ai repris une douche, loin d’Hector, j’ai laissé l’eau chaude couler sur ma peau pendant de longues minutes avant de prendre le gel douche pour me savonner. Un peu endolorie, je n’avais pas eu d’orgasmes pendant les assauts d’Hector, mais j’avais eu une sensation de bien-être au moment où son sperme s’est écoulé en moi. Etait-ce parce que cela signifiait la fin des abordages répétitifs d’Hector, ou simplement de sentir ma caverne se remplir de cette semence chaude et finalement agréable ?
    
    Je ne sais pas, certainement un peu des deux.
    
    En sortant de la salle de bain, Hector ...
    ... m’appela.
    
    — Mon petit sac à foutre; viens !
    
    Un vrai poète, cet Hector...
    
    Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis dirigée vers la chambre où se trouvait Hector.
    
    — Viens là, ma petite chienne ! me dit-il en souriant et en tapotant sur le matelas du lit pour m’indiquer que je devais m’allonger à côté de lui.
    
    Je portais, comme un paréo, une serviette de bain afin de cacher ma nudité, lui, il était allongé au-dessus des couvertures du lit, complètement nu.
    
    — Je n’aime pas quand il est triste ! me dit-il en tripotant son sexe mou.
    
    Il m’attira vers lui et m’embrassa à pleine bouche. Sa langue força le passage et s’inséra dans mon palais sans ménagement. Il m’étouffa presque en la faisant aller au plus profond de ma gorge.
    
    En me voyant tousser et reprendre ma respiration, il éclata de rire :
    
    — Et encore, ce n’est que ma langue...Je ne te dis pas, avec ma bite, l’effet que cela ferait.
    
    — Ouais, enfin, là, elle ne ferait pas de mal à pas grand monde, pensais-je sans, bien entendu, oser le dire à haute voix.
    
    Il me dit poser ma tête sur son torse, sa main droite caressa tendrement mes cheveux, alors que sa main gauche jouait gentiment avec son sexe.
    
    Nous restâmes ainsi durant un temps qui me parut infiniment long. Le jeu de ses doigts sur son sexe finit par avoir l’effet désiré, le petit bout de chair molle était devenu un fier bâton de pèlerin, prêt à aller prodiguer son évangile au fin fond de ma caverne...Cet évangile n’était finalement pas une aussi ...
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