1. Claudia, ma meilleure amie devenue salope (4)


    Datte: 09/09/2019, Catégories: Erotique, Auteur: Ardiero, Source: Xstory

    ... petits gémissements contenus qui à chaque fois lui échappent à contrecœur. Mais ils sont comme ce moment : incontrôlables.
    
    Je me redresse un peu contre le coussin derrière moi et à mon grand désarroi elle en profite pour rebaisser le tee-shirt sur ses seins. J’ai tôt fait de continuer mes caresses dans son dos, tout en tirant sur son tee-shirt ce qui moule et amplifie le volume de sa divine poitrine.
    
    — Humpf...hhhuummm, gémit-elle la bouche contre mon cou.
    
    J’ai juste envie de prolonger ce moment d’érotisme à l’infini. Même sans aller plus loin, même sans lui faire l’amour, cette tendresse et cette chaleur me comblent. Et au fond je sais qu’elle ne me laissera pas avoir plus que ça. Mais un homme étant ce qu’il est...je ne peux résister à l’envie de voir jusqu’où l’on peut aller, jusqu’où on peut maintenir l’illusion que tout ça n’est qu’un jeu amical.
    
    Alors je me mets moi aussi à onduler, à me frotter contre elle de mon bassin. Cette fois-ci elle ne se fige pas, elle se contente de continuer, synchronisant son mouvement sur le mien et contractant ses belles cuisses autour de moi. C’est alors comme si j’étais pris de pulsions, un côté animal en moi se réveille et je ne peux m’arrêter. Je pétris à pleines mains ses hanches et ses cuisses, fini les caresses tendres du début. Elle semble surprise par ce côté plus violent que je lui montre, sa respiration s’accélère encore plus et son corps se secoue d’un frisson.
    
    Claudia m’embrasse alors dans le cou.
    
    Dieu ...
    ... que c’est bon ! Je me sens tout à coup con, elle le fait tellement bien que mes baisers depuis tout à l’heure ont dû lui sembler pareils à des léchouilles. En parlant de ça, elle passe soudain sa langue le long de mon cou, remontant jusqu’à la naissance de ma mâchoire. Je pousse aussitôt un petit grognement et j’essaye de lui faire pareil. Vu sa réaction j’ai maîtrisé le mouvement, il faut dire que ma prof est...motivante. Elle continue à légèrement m’humecter la peau de sa salive avant de souffler légèrement dessus, me procurant une sensation aphrodisiaque.
    
    Le désir brûle en moi, plus ardent qu’il ne l’avait jamais était jusqu’à cette nuit. Je l’ai désiré trop LONGTEMPS. Certains d’entre vous comprendront de quelle sensation je parle, les autres me prendront pour un fou. Mais ça n’a guère d’importance, je suis lancé et même le réveil de Tanguy ne pourrait pas m’arrêter.
    
    D’ailleurs ça m’étonne qu’il continue à dormir, si le bruit de nos corps se frottant ou de nos respirations se changeants en gémissements ne le font pas, la chaleur qui irradie de nous et les grincements du lit auraient dû le faire. Mon érection est plus forte que jamais et je m’aperçois que ma queue est en fait sortie de mon short ! Le bout dépasse d’au moins sept ou huit centimètres mais Claudia ne peut pas s’en apercevoir car mon gland frotte contre son short à elle qu’elle porte assez haut.
    
    L’extérieur de nos corps est parcouru de frissons, fraîches au toucher, mais pour ce qui est de nos faces ...