SAP&cie 03
Datte: 09/09/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: byYarrow, Source: Literotica
... ma conduite?
Le cerveau de Djibril ne put lui fournir qu'une seule réponse :
- Tu es très bonne Jena! Enfin pa ... parfaite j'voulais dire ...
Jena ria devant sa gêne mais surtout devant la facilité avec laquelle elle manipulait ce pauvre type, un pauvre type de plus. Et passa la main dans ses magnifiques cheveux mi-longs bouclés teints en blond cascadant sur ses épaules.
C'est presque gagné, bien jouée bitch Xena
se réjouit-elle
.
- Oh putain! tu l'as dit! Hihi, t'es trop mignon, merci beaucoup mon Djibi. Et pour les deux putains d'compliments, dit-elle, en lui faisant un clin d'oeil rempli de sous-entendu et lui posant la main sur la cuisse.
Si Xena était vraiment excitée par ce contact, pas Jena et elle enchaîna vite fait :
- Alors si je suis si "bonne" entre-autre au volant, en arrivant tu pourras dire à Bertrand que je n'ai plus besoin de leçons? Que je suis prête pour l'examen? D'accord mon Djibi? demanda-t-elle, Xena prenant plaisir en lui tapotant la cuisse, non loin de sa bosse, dont elle faisait semblant d'ignorer complètement l'existence.
Intérieurement, Jena jubilait. C'était exactement là où elle voulait en venir. C'était ça qu'elle cherchait à obtenir aujourd'hui avec l'aide de Xena, que Djibril accepte d'interférer auprès de Bertrand, le proprio et futur examinateur, afin d'abréger ses leçons et ainsi avoir une date d'examen au plus tôt pour obtenir enfin son permis. Ce putain de permis qu'avait osé exiger d'elle ce putain ...
... d'Ibrahim Kahlouf, le sous-directeur. C'est lui qui l'avait dirigée vers cette auto-école pourrie. C'est lui qui lui avait donnée les règles du jeu.
En l'occurrence, qu'elle devait prendre ses leçons à cette auto-école là, que ce serait Bertrand qui déciderait du parcours et de la date de l'examen et que ce serait lui même qui lui ferait passer le test. Le patron avait gracieusement offert les leçons. En effet, le proprio, Bertrand, étant une des connaissances du sous-directeur, ils avaient à priori passé un accord. Elle pensait qu'il l'avait envoyée chez eux seulement pour qu'ils profitent de son physique. Le sous-directeur ne l'avait pas du tout convaincue lorsqu'il lui avait exposé l'absolue nécessité pour son emploi de la possession du permis de conduire.
Elle aimait imaginer ces minables parler d'elle, "j'ai une auxiliaire trop bonne, elle n'a pas le permis, j'vais lui dire que c'est indispensable pour son travail et te l'envoyer, vous allez pouvoir la mater la bonnasse" ou encore "Putain c'est vrai, elle est trop bonne la blondasse et vu comment elle s'habille et comment elle dandine du cul, y a peut être moyen de lui la mettre profond!". Que ce soit vrai ou pas, Jena s'en fichait, au contraire, ça l'excitait, ça l'excitait prodigieusement de les imaginer parler d'elle ainsi alors que c'est elle qui les prenait pour des cons. Et ça faisait plutôt ses affaires qu'ils la croient open, puisqu'au final, non seulement elle éprouvait un immense plaisir à chauffer ses hommes ...