1. De femme du monde à salope de chienne (2)


    Datte: 08/09/2019, Catégories: Erotique, Auteur: portois1954, Source: Xstory

    ... établir une pénombre en éteignant les lumières était chose à proscrire, car si je la désirais, ce n’était pas pour qu’elle ne se montre pas. Mot après mot, échange après échange, discussion après discussion, nous profitions de mes nuits au travail pour nous dire des propos de plus en plus intimes et c’est ainsi que je parvenais à la persuader de prendre les meilleures dispositions pour peut-être se caresser en même temps que nous nous parlions, alors que de mon côté, je lui faisais part que j’avais sorti ma queue et que je me branlais en l’écoutant. Je ne vous dis pas comment son souffle s’accélérait à écouter ma narration d’une situation précise alors qu’elle me communiquait aussi des frissons en sachant qu’elle avait sa main à sa chatte et se faisait du bien.
    
    D’ailleurs me disait-elle, elle ne se masturbait pas avant de me connaître et que j’arrivais à lui faire prendre conscience que c’était un acte tellement bon que s’en priver était une ineptie dont elle se sentait fautive maintenant.
    
    Elle utilisait des termes un peu désuets pour nommer nos sexes et pour les actes que nous avions pratiqués. Alors je l’ai inscrite à ma bonne école de manière à ce que sa « poupoune » devienne sa chatte, son con, sa figue, son abricot, sa moule ; que la prendre par-derrière soit « encule-moi » ou venant de moi, « je vais t’enculer ». Que dire « fais-moi l’amour » me convenait, mais que je préférais de loin l’entendre dire « baise-moi ». De fil en aiguille, nous reparlions de la ...
    ... trilogie de ses orifices comblés, car disait-elle, il lui fut bon d’être prise partout même si je n’avais pas beaucoup coulé dans sa bouche. Il faut dire que pour clore la soirée, après lui en avoir mis plein la chatte et le cul, je m’étais un peu tari sur la quantité de foutre délivré au final.
    
    Pour ne rien gâcher de nos futurs plaisirs, je lui enseignais aussi la pertinence d’utiliser des termes assez crus pour mieux apporter à l’excitation et c’était le cas quand je lui disais « suce-moi-la bite », « mords ma queue » ou quand la regardant droit dans les yeux, je lui disais « je vais te bouffer ta chatte », « boire à ta fente », « te sucer le clito ». Il était indéniable que cela lui procurait de réels frissons et que la grande quantité de mouille qui lui poissait la chatte et la raie des fesses en était preuve flagrante. Bonne élève, Gourmande assimilait vite mes sollicitations et y répondait quasi instantanément. Ainsi j’avais exigé d’elle qu’elle soit totalement nue, ou qu’elle fût chez elle quand elle me téléphonait. C’était ainsi que je voulais qu’elle s’apprécie et qu’elle s’accepte avec ses formes, ses supers gros nichons, ses fesses somptueuses, son embonpoint, bref que c’était pour cela que je bandais pour elle.
    
    Je dois avouer que je n’avais plus de temps à perdre, et que moi, sexagénaire, et elle septuagénaire, ou bien on s’adonnait à combler tous nos manques ou bien on s’ennuyait dans une relation où le sentiment d’amour, même s’il devait exister, ne prendrait ...