1. En chaleur, exhibée dans sa rue (1)


    Datte: 08/09/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: traumman, Source: Xstory

    Il y a des jours comme ça où je suis en chaleur. Hier était un de ceux-là. Quand ça m’arrive, j’ai une envie bouillonnante et intarissable de baise...
    
    On était samedi et il fait bon dehors, je tourne en rond dans mon appartement depuis le matin et me décide à sortir pour chercher quelque chose à manger. Sortie de la douche, je décide soigneusement de ce que je vais porter et m’habille devant le miroir de plain-pied de ma chambre. J’ai choisi la robe parfaite, elle est blanche, transparente sous la bonne luminosité, et se referme sur ma poitrine en cache-cœur. Je ne porte bien sûr aucun sous-vêtement et mes aréoles se dessinent discrètement au travers de la mousseline du tissu. Ma petite toison blonde ne transparaît pas au travers, même sans string. Les côtés de la robe sont légèrement fendus donc j’opte pour le port d’un porte-jarretelles, blanc lui aussi, que je pourrais dévoiler au regard ou non, selon l’envie, en modulant ma position. Les bas couleur chaire sont presque invisibles. En enfilant une paire d’escarpins vernis de rouge, je me contemple, satisfaite : mon corps est délicieux dans cette tenue.
    
    Mes jambes galbées sont allongées par le port des talons, ma taille fine cintrée par la robe, mes seins remontés par le décolleté avantageux. J’assortis mes lèvres à mes chaussures en un coup de rouge à lèvres et me voilà parée. Mes cheveux blonds bouclés sont restés libres et virevoltent sur mes épaules quand je descends les escaliers à la volée.
    
    C’est le début ...
    ... d’après-midi, la rue est calme. Je marche doucement, savourant à chaque pas la caresse du vent sur ma vulve libre. Je sens déjà les regards masculins qui me suivent sur quelques mètres. J’adresse des sourires à tous ceux qui soutiennent mon regard et ceux-ci me les rendent volontiers. Chacun de ces échanges silencieux est pour moi l’occasion d’imaginer leurs mains sur mon corps, de me visualiser prise par l’un d’eux ou plusieurs à la fois, dans cette même rue piétonne que je foule de mes pieds. D’ailleurs, mes tribulations imaginaires ne manquent pas de faire réagir mon corps et je sens que je mouille déjà. Je souris en me disant que mon appétit est en train de changer de registre...
    
    Je continue mon cheminement vers le quartier des halles marchandes et toutes les petites rues pavées attenantes qui regorgent de petits restaurants et de bars. Je n’arrive pas vraiment à réfléchir à ce que j’aimerais manger, mes scénarios mentaux envahissent ma tête de scènes sexuelles de plus en plus bestiales.
    
    Je décide donc de m’arrêter dans le premier établissement venu, une petite sandwicherie qui propose à emporter. C’est parfait, je pourrai aller m’installer dans un parc pour manger tranquillement en continuant de flâner.
    
    Un Monsieur prend ma commande ainsi que celle des clients après moi et j’attends dans la file, accoudée au mur, que mon sandwich au pesto soit prêt. Perdue dans mes pensées, je mets du temps à remarquer que, de l’autre côté du comptoir, un jeune homme, que j’imagine ...
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