1. Orage et désespoir - Emplettes particulières


    Datte: 08/09/2019, Catégories: fh, magasin, cérébral, revede, Masturbation pénétratio, conte, Auteur: Xéna 75015, Source: Revebebe

    ... aussi. J’aime votre prestance et je pense que vos écrits, dont je ne connais pas encore la teneur, doivent être à la hauteur de votre caractère bien trempé.»
    
    « Oui, on peut dire cela comme ça. J’aime m’exprimer dans l’écriture mais aussi verbalement. »
    
    « Humm ! J’aime nos échanges.»
    
    « Moi aussi.»
    
    Après une heure de phrases, de mots élogieux de part et d’autre, c’est elle qui ose juste une phrase.
    
    « J’ai envie de vous, Monsieur, on s’appelle ? »
    
    Un peu surpris par cette proposition, il marque un temps de réflexion avant de répondre.
    
    « Oui, si vous voulez ! »
    
    Après avoir échangé leurs téléphones et leurs prénoms respectifs, c’est lui qui appelle.
    
    — Bonsoir Alexandra.
    — Bonsoir Philippe.
    — Charmante, notre conversation !
    — Oui je trouve aussi mais, si j’étais devant vous en cet instant, que feriez-vous en premier ?
    — Je pense que si j’étais chez vous, assis en face de vous, je regarderais votre corps élancé avec attention, essayant de deviner la forme de vos seins qui me semblent généreux. Par la suite, en me rapprochant de vous, j’oserais une caresse sur vos jambes fuselées gainées de bas fins, puis ma main remonterait vers vos cuisses sans aller plus loin, pour faire durer le plaisir.
    — Humm, oui, encore !
    — Je chercherais votre bouche pour un baiser langoureux appelant le désir.
    — Humm, oui, j’aime !
    — De ma main, j’effleurerais votre shorty, pour sentir la chaleur de votre sexe qui ne demande qu’à être entrepris par une langue experte, ...
    ... ainsi que sur votre clito que je sens déjà excité.
    — Oh oui, j’aime ce genre de contact, encore, c’est bon, humm !
    — Humm, moi aussi j’ai envie de sentir vos lèvres sur ma verge.
    — Oui, caressez-vous et fermez les yeux. Sentez ma langue sur votre gland déjà à son apogée. Là ! Je descends le long de votre sexe pour atteindre vos bourses pleines de ce nectar si convoité que je suce avec avidité. Je remonte lentement le long de votre sexe déjà dur pour le prendre dans ma bouche m’attardant quelque instant sur votre frein
    
    .
    
    — Je vous entends gémir au téléphone et votre respiration se fait plus saccadée.
    — J’ai envie de vous, Philippe. Prenez-moi en levrette pour vous sentir au plus profond de mon être.
    —(Tutoiement par l’excitation) Oui, sens ma verge, je te pénètre, là ! Humm, tu es bonne ma princesse, je vais venir, c’est trop bon avec toi.
    — Moi aussi, j’ai envie de jouir. Je viens, oui, je viens, oh mon Dieu, oh oui !
    
    Puis soudain plus rien. Plus personne au téléphone, plus un bruit, plus un son, que se passe-t-il ?
    
    — Oh non ! Pas maintenant, non ! Ce n’est pas possible, plus de batterie, non !
    
    Lâchant son sexe toujours en érection, il se lève, monte à l’étage pour récupérer son chargeur dans l’espoir qu’elle attende son appel pour conclure.
    
    Tout d’un coup, alors qu’il était en train de redescendre l’escalier, un violent éclair suivi d’un coup de tonnerre sans précédent s’abat sur sa maison, le plongeant dans le noir le plus total, les volets étant fermés ...
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