Le gîte. Conflit de générations au sauna. 1
Datte: 12/03/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds
... n’est pas le cas de Simone!
-Petite curieuse ! Renchérie Simone. J’ai déjà connu de beaux dards ! Mais ton braquemard a bien failli m’étouffer !
Ça, c’est une drôle de famille ! J’espère que leurs Jules ne vont pas débarquer pour tester eux aussi mes compétences ?!
-Non ! Vous ne vous êtes pas trompées ! Je suis bien Patrick. Je ne savais pas que j’avais acquis une telle renommée dans ce gîte ! Mais si vous êtes si bien informées, vous devez savoir qu’après cette « mise en bouche », il va être temps de passer au plat de résistance ! Tout d’abord, je vous veux les trois à genoux devant moi pour remettre en position de bataille Popaul ! Et après, je vais vous faire goûter d’une autre manière aux délices d’une bonne baise !
Elles ne se le font par dire deux fois. Elles se rangent de la plus jeune à la plus âgée.
Solène est une vraie liane, très fine avec des attaches délicates, des petits seinsmenus.
Sa tante Yvette est plus en chair, un corps de sportive, le ventre à peine marqué par la maternité. Simone a un corps un peu lourd mais toujours appétissant avec un petit bedon et la poitrine qui a perdue un peu de sa splendeur d’antan
Je ne les ménage pas. Dès que ma verge a repris une consistance un peu plus ferme dans la bouche de Solène, je passe de l’une à l’autre.
-En parlant de queue ! Fait remarquer Yvette à sa nièce. Regarde comme elle est toujours dure, il a à peine débandé ! Pas comme ton père ! Elle est énorme, tendue aux maximum ! Elle dépasse ...
... allègrement les vingt centimètres, non? On va bien s’en occuper !
En effet, ma verge est encore plus grosse que tout à l’heure. Mon gland, énorme et déformé par le frein, a pris la forme d’un gros champignon.
A tour de rôle, j’empoigne leurs cheveux à pleines mains et rue dans leurs bouches comme je le ferais dans leurs cons. Solène manque plusieurs fois de vomir sur moi et je retire précautionneusement ma teub avant qu’elle ne la déchiquète avec ses dents.
Avec sa tante, j’arrive à pousser un peu plus loin. Il s’en faut encore de quelques centimètres mais il y a du progrès avec tout à l’heure.
Avec la belle-mère (qui entre parenthèses est dans la même tranche d’âge que moi), je retrouve le puits sans fond qui m’a amené à l’extase.
-Bon ! A mon tour de vous faire gueuler ! Donnez-moi votre chatte à déguster !
Elles ne se font pas prier et se positionnent comme elles peuvent dans ce minuscule réduit pas étudié pour ça.
Je passe d’une chatte à l’autre, comparant de la langue, aspirant et goûtant de mes lèvres et de ma bouche ces trois abricots si différents.
Je compare les odeurs, la liqueur qui en suinte, les formes généreuses.
Je les fais crier sous mes caresses, m’amusant même à les travailler les trois en même temps, une main dans la chatte de la mamie, une dans celle de la fille et ma bouche collée sur la moule de leur parente.
Je ne sais pas pourquoi je pense à ce moment que la fille est sortie un jour de la vulve ou je m’abreuve de cyprine et ...