1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1071)


    Datte: 08/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... que cela me procurait, tout me conduisait à un bien-être total, dans lequel, je m’abandonnais voluptueusement. Une petite musique de chambre arrivait à mes oreilles, pensant à un enregistrement, musique qui participait à ma détente. Subitement la musique s’arrêta et repris, quelques mesures auparavant, une fois, deux fois, trois fois, assez pour me faire lever les paupières disant doucement à Virginie :
    
    - Un problème de sono ?
    
    - Non, ma chère, ils répètent !
    
    - Ils répètent, qui donc « répètent » ?
    
    - Les musiciens, me répondit-elle !
    
    - Des musiciens ? Quels musiciens ? Des jeunes élèves ?...
    
    Virginie ne put s’empêcher d’émettre un rire, vite étouffé entre ses doigts.
    
    - Non ce sont des professionnels qui préparent une soirée comme Le Maître en donne de temps en temps !
    
    - Je ne savais pas qu’Il appréciait autant la musique de chambre, répondis-je.
    
    - Tu sais, le Maître aime toutes les belles choses, les Arts en général comme la peinture par exemple ! Et la musique, entre autre, en fait partie aussi. Mais assez parlé, je vais te laver maintenant.
    
    Derrière moi, ses mains, « armées » d’éponges passaient et repassaient sur mon corps, inspectant chaque millimètre carré de ma peau. J’avoue que les éponges, d’une douceur incroyable, ajoutés aux mains très douces et coquines de Virginie me faisait planer en un monde onirique... Les choses se précisèrent et s’amplifièrent quand elle s’attaqua à mon entre jambe, qu’elle inspecta méticuleusement, les lavant, ...
    ... clitoris, grandes lèvres me demandant ensuite d’ouvrir mon sexe, s’attardant sur les petites lèvres, pour finalement introduire deux doigts, puis trois en ma vulve. Je ne savais pas si elle me lavait ou me caressait mais peut-importe, son « lavage était d’une telle douceur, méticulosité, que je me laissais aller aux délices du toucher des doigts de Virginie qui s’en rendait compte naturellement. Lorsqu’elle ressorti ses doigts, j’avais les yeux fermés et émis un gémissement comme pour dire :
    
    - Non, continue...
    
    - Chuut, ne dis rien... si on t’entendait... Ne bouge pas je reviens pour continuer ton lavage intime.
    
    - Ah !, dis-je étonnée pensant que c’était fini ?
    
    Virginie quitta le bain, et s’en alla vers une armoire... Elle en revint armée d’un bel objet qui me fit ouvrir tout grand, pour le coup, les yeux ! Elle avait dans ses mains, un gode, d’une telle taille et grosseur que j’en fus surprise n’en ayant encore jamais vu ainsi. De plus, tout autour, il avait comme des « plumes » et à sa base, une ouverture une tige filetée.
    
    - Qu’est-ce que c’est dis-je doucement à Virginie ?
    
    - (Toujours très doucement, presque à mon oreille), quelque chose pour te nettoyer complètement l’intérieur. Ecarte bien les cuisses, les jambes et ouvre ton sexe, le plus possible, s’il te plait. Mais avant, sors du bain et rejoins-moi sous la douche !
    
    Je sortis à regret toute mouillée du si délicieux bain de mousse, et rejoignis l’esclave Virginie sous la douche, qui m’arrosa d’eau ...