1. Souvenirs d'un queutard (7)


    Datte: 08/09/2019, Catégories: Erotique, Auteur: celestin999, Source: Xstory

    ... maternités. Je ne sais pas comment on appelle ce genre de seins, on aurait dit deux grosses moitiés de pamplemousse chacun, avec des tétons comme des phalanges qui pointaient à l’horizontale.
    
    " Tu ne perds pas de temps ! " dit-elle tendrement, me laissant continuer.
    
    De ses seins je glissais sous sa robe entre ses cuisses aussi très fermes. Sa peau était douce. Arrivé au rempart de sa petite culotte, sous le tissu j’y ai rencontré une douce et fine toison, presque soyeuse déjà bien humide le long de son sillon.
    
    Quand j’ai insinué mon doigt dans sa fente Camille eut un petit sursaut et un mouvement réflexe de resserrer les cuisses. J’avais dû frôler son petit bourgeon, d’un autre côté, sûr aussi qu’aucun autre homme que son mari n’avait fouillé son intimité auparavant. Sa respiration était devenue longue et profonde, elle n’opposait aucune résistance ; je fis glisser sa culotte sur ses chevilles, culotte qui ensuite tomba par terre.
    
    A présent je jouais doucement avec deux doigts dans les replis de sa vulve ouverte et coulante, tirant délicatement et alternativement sur chacune de ses petites lèvres, glissant de temps à autre le bout d’un doigt dans l’entrée de son vagin pour ensuite titiller son clito. Sa main crispée sur mon poignet elle me laissait faire en geignant doucement, s’ouvrant même pour une caresse plus profonde. Je faisais tout pour exacerber ses sens.
    
    J’avais les testicules pleins de jus après 4 jours sans, et je n’avais plus qu’une envie, me ...
    ... planter bien profond dans le ventre de Camille et jouir avec elle. Camille respirait profondément dans mon cou en me faisant des petits bisous. Je bandais comme un âne, mes couilles étaient dures et remontées, presque douloureuses.
    
    Dans un souffle presque suppliant en cherchant à s’allonger un peu plus
    
    — Prends-moi !
    
    — Pas ici, viens on va dans ma chambre
    
    Ramassant sa culotte nous sommes retournés à l’hôtel. Il devait être 23h 30, à la réception les 2 clés de ma chambre étaient accrochées. J’étais soulagé, mon collègue avec qui je m’entendais parfaitement bien n’était pas rentré, il avait peut-être lui aussi trouvé " chaussure à son pied ".
    
    Dans la quasi-obscurité de la chambre je poussais les 2 lits côte à côte pour avoir plus de place. Déshabillée en quelques secondes, Camille était déjà allongée dans le lit quand je m’y glissais à mon tour.
    
    Ses seins, son ventre plat, la courbe de ses hanches, son corps chaud, la douceur de sa peau, sa toison soyeuse étaient un régal pour mes mains.
    
    Je ne tenais plus et passais une jambe par-dessus Camille. Son entrejambe était trempé, le temps de venir jusqu’à la chambre sa mouille avait coulé le long de ses cuisses. Camille, les jambes largement écartées, offerte, m’attendait. Tout en l’embrassant, queue tendue, je nichais mon gland dans sa corolle, d’une seule poussée je me suis enfoncé en elle de toute ma longueur, seuls mes testicules étaient restés dehors.
    
    — Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhh !
    
    — Je t’ai ...
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