Un dimanche pas comme les autres
Datte: 12/03/2018,
Catégories:
jeunes,
fépilée,
hsoumis,
fdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
nopéné,
couple,
Auteur: Sacha, Source: Revebebe
Claire et moi sommes ensemble depuis quelques mois. Nous nous sommes rencontrés au travail, elle était étudiante en alternance et moi, commercial. Très vite nous nous sommes rapprochés et cela fait quelques semaines que nous avons décidés d’emménager ensemble.
Comment vous la décrire ? Elle est assez grande, blonde, très jolie mais il y a deux choses qui m’ont troublé immédiatement, une taille fine avec des hanches larges et surtout une voix… une voix cassée… que je trouve d’un sensuel… J’avais déjà pressenti chez elle, une demande forte, mais son éducation et sa timidité l’empêchaient sûrement de se donner pleinement. Elle était issue d’une bonne famille anglaise, et en avait gardé un accent assez hautain.
Bref, nous étions un dimanche matin. Nous avions pris l’habitude de nous lever tôt, prendre un petit déjeuner dehors et rentrer nous coucher pour se prélasser sous la couette. Le bonheur…
L’air était frais ce matin, et nous n’avions pas tardé à nous remettre sous la couette. Les journées étant longues pour ma part, je serrai Claire dans mes bras et nous nous rendormîmes assez vite. Au réveil, je m’aperçus que Claire s’était déshabillée. Elle ne portait plus qu’un tout petit string et je ne pus m’empêcher de soulever la couette pour mieux la contempler.
En effet, j’adorais regarder ses fesses qui étaient comme un abricot très ferme, très rond et très doux. La couette levée, un air frais s’est glissé entre nous et elle frissonna. Elle ronchonna comme d’habitude ...
... et se colla contre moi pour chercher de la chaleur. Ses fesses se collèrent, je pense inconsciemment, contre mon sexe et elle soupira d’aise. Cela faisait quelques jours que nous n’avions pas eu le temps de nous retrouver, et je me découvris, en quelques instants, très à l’étroit dans mon caleçon.
Elle dormait toujours, ou tout du moins, faisait très bien semblant. Elle n’arrêtait pas de remuer, ce qui avait pour effet de me frotter le caleçon à chaque mouvement. Je dois avouer qu’à ce moment-là, je me sentis un peu honteux, mais elle me fit drôlement du bien…
Elle finit par glisser sa main contre mon ventre et me saisir à travers le caleçon. Je l’entendis rire et se retourner :
— Alors, mon chéri, on a un p’tit problème ?
Elle en profita pour m’embrasser le cou amoureusement.
— Euh… tu te frottais contre moi, et tu sais que je ne résiste pas longtemps à tes fesses
Elle rit et continua à me caresser à travers le caleçon.
— Mais qu’est-ce qui te plait tellement dans mes fesses ?
— Je ne sais pas, elles me font fantasmer, elles sont douces, fermes…
Elle passa ses mains sous le caleçon. Je sursautai un peu, ses mains étaient froides, et elle me saisit le sexe pour commencer de lents va-et-vient.
— Oui, mais tu sais, elles resteront vierges elles…
Elle rit, elle aimait me frustrer, voire me dominer.
Elle se retourna et me présenta ses fesses.
— Mais tu ne trouves pas qu’elles sont rondes ?
Elle se passa la main sur les fesses. Combinée à sa ...