Ma femme se lâche - Histoires de Sexe

Ma femme se lâche

... Je m’en doute.

Je m’approchai de ma femme et la pris dans mes bras.

— Bien, il ne te reste plus qu’à te rhabiller et à rentrer chez toi. Et bien entendu, tu n’oublies pas les termes de notre accord…
— Oh bien sûr ! Je n’en parlerai à personne, me répondit-il en passant ses vêtements.
— Allez file ! Et peut-être qu’un jour je te ferais voir le film.
— Avec grand plaisir !

Il me serra la main et s’approcha de Cécilia. Elle prit sa main et la plaqua sur son sexe encore humide.

— À bientôt, mon grand. C’était très bien pour une première fois. Mais n’oublie pas, à chaque fois que tu couches avec une femme, de toujours s’intéresser à son plaisir.
— D’accord. Et je pense que je n’ai pas fini de repenser à cette soirée !

Il descendit l’escalier et nous l’entendîmes claquer la porte. Cécilia vint se coller à moi et m’embrassa.

— Alors, mon chéri, tu as trouvé ça comment ?
— Très excitant !
— J’ai bien vu que ça te plaisait ! Tu en es encore tout dur !

Alors que nous nous embrassions, mes mains courraient le long de son corps, s’attardant plus sur ses fesses.

— Et je suppose que tu ne veux pas en rester là pour ce soir ?
— Excité comme je suis après ce que j’ai vu, j’ai très envie de toi. ...

... Mais je comprends que tu en aies assez pour ce soir.
— J’avoue que je suis un peu fatiguée mais je ne peux pas te laisser comme ça. Tu veux ma bouche ou mon sexe ?
— Ton sexe…
— Très bien. Il est tout à toi alors !

Elle alla s’allonger sur le ventre sur le lit, les jambes légèrement écartées et la croupe relevée. Je me déshabillai rapidement et vins m’allonger au-dessus d’elle, glissant mon sexe entre ses cuisses.

— Prends-moi. Je ne suis qu’un sexe trempé qui attend ta bite…

À ces mots, ma verge rentra dans son sexe trempé. Je commençai de lents va-et-vient en elle puis j’accélérai mon rythme. Elle commença à pousser de petits soupirs qui se transformèrent peu à peu en cris de plaisir. Quand je sentis que j’approchai de ma jouissance, je la fis se relever pour se retrouver à quatre pattes et je me mis à la pilonner de grands coups de reins. Ses cris suivaient les mouvements de mon sexe et, alors que je me répandis en elle, nous jouîmes ensemble. Épuisés tous les deux, nous nous écroulâmes sur le lit et nous endormîmes aussitôt, mon sexe toujours dans le sien.

Le lendemain matin, nous nous réveillâmes et visionnâmes la vidéo de la veille et fîmes à nouveau l’amour, mais ceci est une autre histoire…