Pour ma fille
Datte: 07/09/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
bourge,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... tourmenteur me fait descendre dans « notre » cave. Il ôte galamment mon manteau et me regarde.
— Karim, je ne peux plus transporter vos trucs, je suis mère de famille, c’est trop risqué !
Il ignore ma remarque et ôte, sous mes yeux interdits, son sweat-shirt et son jogging. Il n’a même pas de caleçon ! Il me prend par le cou, me pousse vers le matelas, s’y allonge et m’ordonne :
— Suce-moi !
Je m’agenouille sur le ciment froid, comme une automate. Nos regards se croisent, s’affrontent. Je mate son corps. Il est assez baraqué, son torse est glabre, mais une forêt de poils drus et noirs couvre son ventre du nombril au haut des cuisses. Son membre, semi-érigé me paraît massif, et surtout il y a au bout un gland énorme, très violacé. Il doit être circoncis… L’image me fait penser à un gros champignon sur un tapis de mousse noire. Me prenant par les épaules, il me force à m’incliner vers sa virilité. Je pose mes lèvres sur son engin, il dégage une odeur fortement musquée. Ma langue se pose sur son méat pour y recueillir une petite goutte. Il frémit, et m’enjoint :
— Lèche-moi les couilles !
Docilement, je pars à la rencontre de ses bourses. On dirait deux grosses mandarines un peu ridées. Je les lèche consciencieusement, puis en aspire une. Les mouvements de son bassin traduisent sa satisfaction. Je la recrache pour m’occuper de l’autre. Je la garde dans ma bouche, la faisant rouler avec la langue. Je la sens grossir, durcir. Elle est grouillante de vie. Son ...
... souffle s’accélère. Il m’incite de sa main à remonter mes caresses vers son sexe. Il bande fort, maintenant. Pas très long, il me paraît très large. Et le volume de son gland m’étonne toujours, je n’en ai jamais connu de si imposant. Une curieuse pensée me traverse l’esprit, je vais prendre dans ma bouche un sexe qui a dû donner du plaisir à ma fille !
Prenant sa tige à deux mains, je lape son bout comme si c’était une glace. Il reste un bras le long du corps, et une main posée sous ma robe, sur mes fesses. Il me laisse la direction des opérations, je préfère ainsi. Trop souvent, les hommes que j’ai sucés me poussaient la nuque contre eux pour que je les absorbe plus profondément. Ne pouvant plus respirer, j’avais des hoquets, et même des nausées. Je ne suis pas contre les fellations, mais à mon rythme ! Cela ne m’empêche pas de le faire coulisser de plus en plus profond, de l’agacer avec ma langue, de l’enserrer avec mes lèvres. Je le sens peu à peu se contracter, les muscles de ses cuisses durcissent, son bassin monte au-devant de mes caresses. Il grogne, et jaillit… Je reçois une bonne gorgée dans ma bouche, je me recule vivement, car j’ai toujours ma robe. Quatre autres longues giclées vont s’écraser sur le sol. J’ai enfin fait jouir le copain de ma fille. Je lui caresse suavement le torse, son souffle se régularise. Il s’assied et me complimente :
— Toi, tu suces comme une reine !
Je n’ose pas lui demander si je le faisais mieux que ma fille…
J’ai, hélas, deux ...