Pour ma fille
Datte: 07/09/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
bourge,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... samedi soir venu, lorsque ma fille va se coucher, je file enfiler ma nuisette et mes escarpins. Je m’endors devant une mauvaise série télé, le portable à la main. Il est plus d’une heure quand il me sollicite. Je débloque la porte de l’immeuble et l’attends sur le palier. Et là, effarée, je vois Karim sortir de l’ascenseur avec un autre garçon ! Je reste scotchée, immobile. L’autre a les yeux exorbités en me regardant, je suis plus nue que nue ! Karim me pousse chez moi et me murmure à l’oreille :
— C’est Omar, « mon frère ».
Je les précède dans ma chambre que je ferme à clé. Je vais expliquer à ce goujat que je ne me chauffe pas de ce bois-là ! Au moment où je me retourne vers eux, Karim m’enlace et me glisse :
— Omar n’a jamais baisé une vraie femme comme toi. Il en meurt d’envie.
Je cherche ma respiration, il en profite pour me serrer plus fort et glisser sa main entre mes jambes, posant la palme de ses doigts là où il sait que je craque, mon périnée. Ses gestes sont sûrs et doux, mais je ne dois pas fondre. Il me bâillonne d’un fougueux baiser, ses doigts dessinent d’envoûtantes arabesques. Et il me sent craquer… Il me dépose, telle la Belle-au-Bois-dormant, sur mon lit. Entre mes paupières, j’observe son soi-disant frère et réfléchis à ma défense. Il ne lui ressemble guère. Il me mate comme un gamin devant une devanture de pâtisserie. Karim ne me laisse guère le temps de penser, il m’a dénudé un sein qu’il tète goulûment, tout en caressant maintenant mes ...
... grandes lèvres. Alors je m’abandonne, caresse ses cheveux drus et ronronne de bonheur, en oubliant l’intrus. Il me soulève les reins, se cale en moi et m’envahit de son infinie lenteur. Je ne sais plus où il commence, où je finis. Il me chevauche, ardent cavalier sur sa pouliche.
Au moment où ses ruades s’accélèrent, je sens entre mes lèvres comme un morceau de chair. J’ouvre les yeux, j’ai le sexe d’Omar au bord des lèvres.
— Bois-le, m’intime son frère d’un ton autoritaire.
Et j’engloutis Omar. Étrange impression que celle d’être pénétrée par deux membres différents. Mais l’envie qui monte dans mon ventre me rend incapable de toute analyse. Les vannes de mon plaisir s’ouvrent au moment où je sens dans ma gorge jaillir une semence âcre que j’avale en partie malgré moi. Karim à son tour se cabre et m’inonde de son jus.
Toute la nuit, j’ai été l’objet des assauts de mes deux jeunes mâles. Tout au plus, ai-je pu imposer l’usage de préservatif à Omar et repousser toute tentative de sodomie. En toute honnêteté, je dois reconnaître le plaisir que j’ai tiré de cette double présence virile à mes côtés, même si le cadet n’avait visiblement pas le savoir-faire de son aîné, et si certaines de ses caresses, buccales notamment, manquaient de retenue. D’ailleurs, au petit matin, les marques rouges sur ma peau révélaient un art un peu trop primitif. Mais, oui, j’avais pris mon pied de manière intensive. Avoir deux hommes pour soi n’est pas désagréable !
Le gros problème au ...